3e dose de vaccin ARNm mortelle pour de nombreux Japonais

Chère amie, cher ami,

Au Japon, la vaccination n’est pas obligatoire. Ni les adultes ni les enfants ne doivent se faire vacciner. (1)

Les touristes non plus n’ont pas besoin de se faire vacciner. (2)

Pour autant, la couverture vaccinale pour certains vaccins de base comme la diphtérie est relativement élevée. (3)

Car les autorités de santé recommandent tout de même la vaccination. 

Et comme la population leur fait confiance, ces recommandations sont suivies. 

Mais la politique vaccinale du pays n’est pas linéaire ou totale. Elle peut être nuancée. 

Gardasil : un mauvais souvenir pour les Japonais

Par exemple, en 2014, les autorités de santé japonaises ont suspendu leur recommandation du vaccin contre le papillomavirus HPV. (4)

Cette décision a été maintenue jusqu’en 2022. (5)

Ce vaccin controversé était censé prévenir le cancer du col de l’utérus dont une partie des virus (15% environ) peuvent être responsables. (6)

Entre 2009 et 2014, 1968 effets secondaires graves ont été diagnostiqués et notifiés au fabricant, le laboratoire GlaxoSmithKline. (4,5)

Lorsque ces chiffres ont été révélés, un symposium a été organisé où les victimes ont pu témoigner, tandis que des experts médicaux japonais et internationaux avaient présenté leurs données. 

La regrettée Michèle Rivasi, alors députée européenne s’était rendue à cet événement. (4)

Cette histoire avait créé une vague d’indignation dans le pays. 

Va t’il y avoir une nouvelle crise de la vaccination au Japon à cause des vaccins contre le covid 19 ? 

La crise sanitaire au Japon

Les premiers jours de la crise sanitaire au Japon ont été difficiles. 

Le nombre de décès était conséquent : +700 par jour à cause du covid 19. (7)

Mais les Japonais se sont vite adaptés. 

L’état d’urgence a été décrété. Puis les clusters ont été ciblés. Les salles de sport et les discothèques ont été fermées. (7)

La capacité d’accueil des hôpitaux a été augmentée. (En France, 5700 lits ont été supprimés en 2020 !) (8)

En outre, les médecins japonais sont restés libres de leurs prescriptions. 

Ils ont notamment prescrit de l’ivermectine alors qu’en France ce médicament était interdit et que les médecins qui le recommandaient, étaient poursuivis ! (9,10)

Résultat, en 2020 l’espérance de vie au Japon, qui est parmi les plus élevées du monde, a continué à augmenter. 

En revanche, en France, en Allemagne et aux États-Unis, l’espérance de vie a reculé. (11)

Pourquoi les Japonais ont-ils accepté le vaccin contre le covid 19?

Quand les vaccins sont arrivés, la situation sanitaire au Japon était largement sous contrôle.

L’épidémie était en train de refluer. Mais le pays organisait les Jeux olympiques.  

Ces derniers devaient avoir lieu en 2020. L’événement a été reporté d’un an. Et les Japonais ont préféré ne prendre aucun risque. (12)

La population était prête à tous les sacrifices pour que tout se passe bien dans le pays. 

Résultat, plus de 95% des plus de 80 ans ont reçu plus de 3 doses de vaccins. Et la majorité en est même à 6 ou 7. (12,13)

78% des vaccinés ont reçu des doses Pfizer tandis que les 22% restants ont été injectés avec le produit du laboratoire Moderna. 

Aujourd’hui, certains le regrettent amèrement.

Une 3e dose fatale 

Car des chercheurs ont établi une corrélation entre l’augmentation de certains cancers et les vaccins ARNm contre le covid 19. (13)

Une étude parue le 8 avril dernier dans le journal Cureus signale une hausse assez nette du nombre de cancers au Japon à partir de la 3e dose. 

La surmortalité liée au vaccin serait de 115 000 décès ! (13,14)

Dans cette publication, 5 experts japonais ont analysé la base de données médicale officielle du pays. 

Ils ont scruté les données pour 20 types de cancers différents. 

Plusieurs constats inquiétants 

Leur premier constat est qu’en 2020 la mortalité liée au cancer au Japon est restée stable. 

En revanche, à partir de 2022, après qu’une bonne partie de la population a reçu sa troisième dose de vaccin, la mortalité liée à certains cancers a sensiblement augmenté. 

2021 avait déjà vu une légère augmentation, mais en 2022 les choses se sont accélérées.  

Et les chiffres de 6 cancers en particulier sont mauvais : 

• ovaires,
• leucémie, 
• prostate, 
• pharynx, 
• pancréas,
• sein. 

Les chercheurs ont noté une augmentation spécifique des cancers hormono-dépendants. 

Ils pensent que les vaccins pourraient notamment avoir un effet sur les récepteurs d’oestrogènes. 

Mais le lien exact qui pourrait exister entre ces cancers et les injections ARNm restent encore à préciser. 

Cette situation préoccupante peut-elle déclencher une crise de confiance à l’égard des vaccins chez les Japonais ? 

L’avenir le dira. 

Naturellement vôtre, 

Augustin de Livois