Au Japon, le ton monte contre les vaccins ARNm

Chère amie, cher ami,

La crise sanitaire de 2020 va marquer un tournant dans la confiance de certains pays envers l’industrie pharmaceutique occidentale.

Le Japon, en particulier, qui n’a jamais été particulièrement pro vaccins (sans y être hostile), pourrait être plus vigilant à l’avenir face aux produits proposés par Big Pharma.

Car depuis plusieurs mois, les mauvaises nouvelles s’accumulent contre les vaccins ARNm. L’opinion publique pourrait finir par ne plus vouloir ces nouveaux vaccins.

Au Japon, il existe une “loi immunité” qui encadre la vaccination. Ce texte, voté par le parlement, date de 1948. Sa dernière mise à jour date de 2013(1).

L’administration met à disposition les vaccins pour la population

Personne ne peut être obligé de se faire vacciner au Japon. Et le vaccin ARNm contre le covid-19 n’a pas fait exception à cette règle(1).

Un employeur ne peut pas non plus obliger ses salariés à présenter un certificat de vaccination(2).

Dans le système japonais, les obligations se trouvent du côté du gouvernement, des préfectures et des municipalités.

Le principe de base est que toute personne qui veut se faire vacciner doit pouvoir le faire. Mais personne n’est obligé de se faire vacciner.

La loi distingue les vaccinations dites “de routine” de celles dites “temporaires”(1).

Les préfectures et municipalités sont tenues de mettre à disposition du public les vaccins de routine, ceux dont on a besoin en permanence(1).

Ces dernières sont recommandées (et non imposées aux familles).

Lorsqu’une épidémie survient, les municipalités doivent mettre à disposition les vaccins spécifiques s’ils existent(1).

La loi consacre une part importante aux effets secondaires. Ces derniers sont prévus. Ils ne sont pas niés ou minorés comme en France.

Si la municipalité est convaincue par une plainte d’un patient, elle doit l’indemniser à hauteur du préjudice subi(1).

Les seules sanctions prévues par la loi sont liées aux fraudes éventuelles à l’indemnisation en cas de demande exagérée à la suite d’un effet secondaire causé par le vaccin.

Une crise sanitaire bien gérée sans vaccins 

Les Japonais ont été surpris par la crise sanitaire. Au début de l’épidémie, le nombre de cas s’élevait à plus de 700 par jour(3).

Tout le monde a eu peur. L’état d’urgence a été décrété. Les discothèques et les salles de sport, lieux propices à la contamination, ont été fermés(3).

Les clusters ont été ciblés et tout le monde a été très vigilant. Résultat, le 26 mai 2020, l’état d’urgence a été levé(3).

Les médecins japonais ont également utilisé de l’ivermectine avec succès. 

Le Japon est l’un des pays à avoir traversé la crise sanitaire avec le plus de sérénité.

À la fin de l’année 2020, l’espérance de vie dans ce pays avait augmenté alors qu’elle était déjà très élevée(4).

La même année, elle a reculé aux États-Unis, en France et en Allemagne(4).

En revanche, l’espérance de vie au Japon a reculé en 2022, puis à nouveau en 2023(5).

Les Japonais se vaccinent en masse contre le covid-19 

Lorsque le vaccin contre le covid-19 a été introduit au Japon, la population n’était pas forcément plus vaccinophile qu’avant.

Mais il y avait un enjeu : les Jeux olympiques à Tokyo.

En 2020, ils ont été reportés à 2021 à cause de la crise sanitaire.

À l’arrivée des vaccins en 2021, les Japonais n’ont pas voulu prendre de risque.

Le gouvernement leur a recommandé d’aller se faire vacciner. Et beaucoup d’entre eux l’ont fait.

En 2023, 80 % de la population nippone était vaccinée, soit 96 millions de personnes(6).

Malheureusement, très vite, les autorités ont compris qu’il y avait un problème.

Et dès 2023, on a assisté à un changement d’ambiance au Japon.

16 mai 2023 : une chaîne de télévision présente des excuses

Ce jour-là, le média NHK s’est fendu d’un tweet officiel pour avoir menti aux téléspectateurs(7).

La chaîne avait, en effet, au cours du journal télévisé, expliqué que des patients étaient décédés du covid-19, là où en réalité, ils avaient été tués par le vaccin contre le covid-19.

Les familles des patients s’étaient plaintes auprès de la NHK en affirmant que les journalistes avaient tordu les faits(7).

L’association « Tsunagu kai », basée dans la préfecture de Kyoto, avait été sollicitée par NHK(7).

Cette ONG réunit des familles de victimes du vaccin contre le covid-19. NHK souhaitait obtenir des témoignages de ces familles.

Les témoins endeuillés avaient précisé les circonstances dans lesquelles leurs proches étaient décédés et affirmé leur opposition à ce vaccin.

Mais à leur grande surprise, le 15 mai 2023, la chaîne a présenté les choses comme si le coronavirus avait tué ces personnes et non le vaccin.

Les familles se sont publiquement indignées et ont menacé de porter plainte contre la chaîne.

Le 16 mai, dans l’après-midi, NHK s’excusait(7).

1er juin 2024 : un ancien ministre présente ses excuses publiques

Cette deuxième affaire d’excuses publiques montre qu’au sein de l’opinion publique japonaise, la gestion du covid-19 par les autorités japonaises et internationales ne passe pas.

Une manifestation contre l’OMS avait été organisée.

Et un ancien ministre de l’Intérieur et de la Communication, Kazuhiro Haraguchi, a pris la parole(8).

Ce responsable politique est désormais parlementaire.

Il a dit “Nous nous excusons auprès de vous tous. Je m’excuse auprès de vous tous. Tant de personnes sont décédées. Et elles n’auraient pas dû mourir.”

Il a ajouté : “Lorsque nous sommes confrontés à des armes biologiques comme le coronavirus qui se diffusent, nous essayons de répondre avec une médecine japonaise. C’est ce que nous avons fait en utilisant l’ivermectine développée par le Dr Satoshi Omura. Nous avons proposé cette approche au Parlement. Mais elle a été refusée. Pourquoi ? Parce que le médicament n’était pas assez cher.(8)

Il a conclu que l’ivermectine risquait de mettre en péril la commercialisation des vaccins.

Kazuhiro Haraguchi a ensuite dit qu’il avait, lui-même, été vacciné avec cet ARNm, ce qui lui a déclenché un lymphome.

5 juin 2024 : 37 décès liés au vaccin en 2023

Une troisième révélation est venue perturber les débats sur le sujet dans le pays.

Le ministère de la Santé a révélé que, d’après des experts, 37 personnes en 2023 étaient décédées des suites du vaccin(9).

C’était la première fois qu’une telle annonce était faite.

Un représentant du ministère de la Santé, du Travail et de la Solidarité a expliqué que ce jugement était fondé sur l’avis de médecins, mais qu’en l’état, les autorités nippones ne savaient pas si ce chiffre était sous-estimé ou surestimé.

Le ministère révèle par ailleurs que 23 personnes sont considérées officiellement comme avoir été victimes du vaccin contre le covid-19 en 2022(9).

La commission en charge d’investiguer sur ces décès au sein du ministère de la Santé a confirmé qu’il existait un lien direct entre la mort des patients et l’injection du vaccin ARNm.

18 juillet 2024 : des nanorobots trouvés dans les vaccins

Un peu plus d’un mois après, un médecin coréen et un chercheur de l’Université chrétienne d’Okinawa ont publié une étude dans une revue internationale sur la recherche vaccinale. (International Journal of Vaccine Theory, Practice, and Research)(10).

L’étude du Dr Young Mi Lee et de Daniel Broudy pourrait faire date.

Les chercheurs expliquent qu’ils ont analysé le contenu des vaccins Pfizer et Moderna au stéréomicroscope qui permet d’agrandir jusqu’à 400 fois l’objet observé.

Ils ont découvert dans les doses vaccinales des composants nanotechnologiques capables de se lier entre eux lorsqu’ils sont excités.

Les chercheurs expliquent que ces structures artificielles ont eu tendance à se complexifier au fil du temps(10).

Elles ressemblent à des nanotubes de carbone, des filaments, des rubans, des membranes ou des spirales.

Les chercheurs concluent que leurs observations montrent la présence de nano-constructions, voire de nano-robots, dans les doses de vaccins ARNm injectés à des millions de personnes (dont 96 millions au Japon).

Ils pensent que la présence de ces nano-artifices explique les effets secondaires et les décès liés aux vaccins ARNm.

Ces nanorobots seraient notamment responsables des caillots sanguins chez les victimes(11,12,13).

En conclusion, les chercheurs se posent deux questions fondamentales :

  • pourquoi ces nano-technologies ont-elles été placées dans les doses de vaccins ?
  • pourquoi les fabricants n’ont-ils pas communiqué à ce sujet ?

Certains commentateurs vont jusqu’à affirmer que le Japon pourrait lancer un nouvel état d’urgence pour faire cesser toute vaccination dans le pays(11,12,13).

Je n’ai cependant pas eu, à ce stade la confirmation de cette information.

Je vous tiens au courant !

Naturellement vôtre,

Augustin de Livois

 


Références :

  1. Immunization Act – Act No.68, Japanese Law Translation, 30 Juin 1948.
  2. Yasuyuki Kuribayashi & Yuki Takahashi, Japan: Q&A – Employer COVID-19 Vaccination Policies (Updated), World Law Group, 1er Novembre 2021.
  3. Dennis Normile, Japan ends its COVID-19 state of emergency, Science, 26 May 2020.
  4. Rupert Wingfield-Hayes, Japan: From vaccine hesitancy to vaccine success, BBC News, 20 Novembre 2021.
  5. Japan: Life expectancy drops again in 2022 for second straight year, Healthworld, 7 Août 2023.
  6. Takeshi Yoda, Nagisa Iwasaki & Hironobu Katsuyama, Willingness to Pay for COVID-19 Vaccines in Japan, Int J Environ Res Public Health, Novembre 2023.
  7. Yusuke Kato, Japan’s NHK apologizes over how suspected COVID vaccine deaths were reported, The Mainichi, 17 Mai 2023.
  8. Japanese Official Apologizes for Injuries, Deaths Linked to COVID-19 Vaccine – American Faith, Ground, 1 Juin 2024.
  9. Haruna Okuyama, Doctors in Japan claim 37 people died due to COVID vaccinations in 2023, The Mainichi, 11 Juin 2024.
  10. Young Mi Lee & Daniel Broudy, Real-Time Self-Assembly of Stereomicroscopically Visible Artificial Constructions in Incubated Specimens of mRNA Products Mainly from Pfizer and Moderna: A Comprehensive Longitudinal Study, International Journal of Vaccine Theory, Practice, and Research, 2024.
  11. Joe Tuzara, Japan Declares State of Emergency After ‘Nanobots’ Found in 96 Million Citizens, Tuzara Post Newsletter, 11 Août 2024.
  12. Chris Wick, Japan Declares State of Emergency After ‘Nanobots’ Found in 96 Million Citizens: Big Pharma’s Worst Nightmare Unleashed !, Chris Wick News, 10 Août 2024.
  13. The Truth Above All, The Truth about Japan Declares State of Emergency After Nanobots Found in 96 Million Citizens, Odysee, 2 septembre 2024.

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