Petit-déjeuner Santé: êtes-vous sûr d’avoir les bonnes clés?
Chère amie, cher ami,
Les quelques fois où je passe une nuit à l’hôtel, j’ai toujours droit, invariablement, au même petit-déjeuner : de la baguette, du beurre et de la confiture industriels. A cela s’ajoute parfois de la viennoiserie tout aussi industrielle, un jus d’orange et, bien sûr, un yaourt. Je retrouve ce menu notamment en Belgique, en France ou en Suisse, mais aussi dans d’autres pays dans le monde.
Il faut faire quelque chose…
Car dans ce petit-déjeuner, si courant aujourd’hui, on ne trouve que des sucres, ou presque.
Lorsque l’hôtelier s’efforce de satisfaire sa clientèle allemande ou anglo-saxonne, j’ai droit en prime à une tranche de jambon (voire d’épaule), ou des oeufs, et à un peu de fromage.
Pain = sucre
Le pain est généralement blanc. Cela veut dire dire qu’il est fait à partir d’un blé dont le grain a perdu son enveloppe. C’est un blé raffiné.
D’un point de vue nutritionnel, ce procédé (utile au stockage et à la conservation) est une catastrophe. En effet, le grain, et donc la farine et le pain, perdent dans l’opération les trois quarts de leurs nutriments. Adieu calcium, fer, zinc, vitamines B et vitamine E qui sont tous dans l’enveloppe du grain !
Plus ennuyeux : ce pain sera assimilé par le corps comme un sucre rapide. C’est-à-dire qu’il a un indice glycémique élevé (au dessus de 70). Cela en fait un aliment de choix pour provoquer le diabète, l’obésité et certains cancers. Le sucre, en effet, favorise l’inflammation, point de départ des cancers.
Enfin notre pain blanc, c’est beaucoup de gluten. Le blé moderne en est gorgé ! Or le gluten, comme une étude américaine l’a démontré récemment, provoque de la porosité intestinale [1].
Et ce problème touche tout le monde. Les personnes atteintes de la maladie coeliaque ne sont pas les seules concernées. Maladie de Crohn, problèmes articulaires, vieillissement, côlon irritable, les conséquences sont simplement plus ou moins graves.
Certes, les sucres sont catastrophiques. Espérer se rattraper sur les autres aliments de ce petit-déjeuner est illusoire !
Jus d’orange : une fausse bonne idée
Commençons par le jus d’orange. On en sert par défaut, partout.
Refuser celui que l’on vous propose provoque bien souvent la réaction de votre hôte : “C’est bon pour démarrer la journée” ou encore “Vous savez, c’est du bio”. Car la plupart des gens s’imaginent que les jus de fruits sont bons pour la santé. En même temps, il est vrai que les autorités de santé en France en sont encore là : le Plan National de Nutrition et de Santé estime que prendre un jus d’orange revient à manger un fruit.
C’est un raisonnement un peu court. Car un verre de jus d’orange, c’est d’abord un concentré de sucre. A fortiori, si l’on vous sert un jus industriel auquel aura été ajouté du sirop de glucose. Mais même le bon jus pressé de vos mains contient trop de sucre. Simplement parce que le sucre se trouve dans le “jus” du fruit.
Ainsi, un jus d’oranges bio pressées reste deux fois plus sucré que le fruit seul !
Car la différence tient surtout au fait que dans un fruit consommé entier et non pressé, le sucre n’est pas seul. Il est livré avec des fibres et des nutriments qui le font passer moins vite dans le sang. L’avantage est que votre pancréas n’a, dans ce cas, pas besoin de surréagir. A l’inverse, si une dose trop forte de sucre arrive dans le sang, il est obligé, par réaction, de produire une quantité phénoménale d’insuline afin de rétablir l’équilibre.
Au fil des années, le risque de diabète de type 2 s’accroît. Cette maladie, autrefois appelée diabète non insulinodépendant (DNID) correspond à une hyperglycémie à cause d’un mauvais fonctionnement du pancréas. Soit la quantité d’insuline fabriquée est insuffisante pour traiter le diabète, soit l’insuline agit mal.
Le meilleur moyen d’éviter cette maladie – voire d’en sortir – est donc d’éviter les habitudes alimentaires qui gavent l’organisme de sucre. L’activité physique est également un allié contre cette maladie de civilisation.
Que penser de la confiture ?
Vu les lignes qui précèdent, vous vous doutez que les confitures ne trouvent pas nécessairement grâce à mes yeux !
Dans les hôtels, on vous propose des confitures dans des coupelles en plastique. Elles sont fades et très sucrées. C’est normal car on y trouve toujours du sirop de glucose, mais rarement des fruits. Il s’agit en réalité d’arômes de fruit. Certains fabricants vont jusqu’à ajouter des akènes de fraises (petites graines du fruit) pour faire croire que l’on trouve réellement du fruit dans le produit.
Vous me direz qu’il existe des produits bio, artisanaux et de qualité. C’est vrai. Mais on ne les retrouve que rarement dans les hôtels, la restauration collective, les restaurants et les supermarchés.
En attendant, la confiture, même faite par votre grand-mère avec les fruits de son jardin, constitue un apport important de sucre qui, avec le pain blanc et le jus d’orange du matin, va créer un déséquilibre dans votre corps.
Au quotidien, le risque, c’est l’hypoglycémie.
2 heures après votre petit-déjeuner sucré arrive le coup de barre. Votre organisme réclame du sucre ! La tentation de prendre une barre de céréales ou des gâteaux sera alors irrésistible et vous rentrerez dans un cycle hyper/hypoglycémie qui, au fil des années, fatiguera votre organisme.
Par ailleurs, l’excès de sucre sera régulièrement stocké par votre corps et deviendra de la graisse. Vos cellules seront endommagées et les maladies finiront par se déclarer. Sans parler du diabète, que j’ai déjà mentionné…
Et le croissant chaud qui sent si bon ?
Enfin, les viennoiseries, comme chacun sait, sont bourrées de sucre (encore), de gluten (encore) et potentiellement d’acides gras trans (s’il s’agit d’un croissant industriel, par exemple) qu’il faut absolument éviter.
Alors, pour quel petit-déjeuner faut-il opter ?
L’enjeu est de taille. D’abord, parce que, comme on l’a vu, les mauvaises habitudes créent des maladies. Ensuite, parce qu’un petit-déjeuner adapté changera votre quotidien dès les premières heures de la journée.
Il vous réveillera parfaitement, vous donnera de l’énergie pour commencer la journée, vous permettra d’être en forme tout au long de celle-ci et, en outre, il aura été presque totalement assimilé par votre corps lorsque vous vous coucherez.
Quelle promesse ! Cela vaut donc la peine d’essayer. Voici quelques idées à explorer pour améliorer le petit-déjeuner. Pour vous les proposer, je me suis librement inspiré des travaux d’Anthony Berthou, nutritionniste et spécialiste de micronutrition.
Stimuler l’éveil et la motivation
Pour cela, il faut prendre des aliments qui viendront faciliter la production par votre corps de dopamine. Cette dernière est directement synthétisée à partir d’un acide aminé (la tyrosine) abondant dans les protéines animales.
C’est la raison pour laquelle on conseille souvent de prendre des oeufs (bio ou labellisés Bleu Blanc Coeur, catégorie 0 ou 1). Les oeufs par ailleurs sont riches en :
- Minéraux et oligo-éléments (Zinc, Phosphore, Sélénium) et vitamines (B2, B5, B9, B12, A, D et E),
- Caroténoïdes antioxydants (lutéine, zéaxanthine), utiles pour lutter contre la cataracte, le vieillissement et les maladies cardiovasculaires,
- Choline, indispensable au développement et au bon fonctionnement du cerveau,
- Lipides et cholestérol : un œuf de 60 g contient environ 5,5 g de lipides et 200 mg de cholestérol,
- Oméga-3, si les poules sont élevées aux graines de lin ou éventuellement dans la nature (poules de jardin se nourrissant de vers de terre).
Enfin, la consommation d’un œuf par jour, contrairement à ce que l’on voit écrit parfois, n’augmente pas le cholestérol sanguin. Aucune étude n’est venue étayer cette idée. Ce n’est, du reste, pas une surprise dans la mesure où la majorité du cholestérol sanguin est fabriqué dans le foie à partir… du glucose. De surcroît, l’enzyme qui régule le cholestérol appelée HMGCoA-réductase est particulièrement active le matin. Mieux vaut donc prendre des oeufs au petit-déjeuner que le soir avant de dormir.
Les avantages des protéines animales ne s’arrêtent pas là. Elles permettent également de réduire la vitesse d’assimilation des sucres éventuels que vous auriez pris pendant le même repas (si la lecture du début de cette lettre ne vous a pas encore convaincus !). Enfin, elles favorisent la satiété. On mange moins et surtout… moins de sucres.
Pour ceux qui ne prennent pas de protéines animales comme les végétaliens, il est nécessaire de se tourner vers des aliments riches en protéines végétales : ce sera, par exemple, du chanvre (graines de lin et huile notamment), des pois, du soja (attention toutefois aux OGMs)…
Prendre des graisses pour avoir de l’énergie
L’intérêt des graisses de qualité est qu’elles permettent au corps de mieux fonctionner. Elle lui donnent de l’énergie tout au long de la journée.
L’importance des Oméga-3 est maintenant bien connue. De nombreuses études sont venues le confirmer depuis une vingtaine d’années : ils jouent sur les connections neuronales et sur le métabolisme. Ils sont également utiles pour limiter le risque de maladie cardiovasculaire et les inflammations.
Afin de compléter son petit-déjeuner, on peut donc, outre les oeufs et le poisson, prendre des fruits oléagineux, comme les noix, les noisettes ou les amandes car ils sont naturellement riches en Oméga-3.
Et contrairement à ce que l’on pourrait penser, un bon beurre bio, venant d’une vache nourrie à l’herbe des pâturages, n’est pas mauvais pour la santé ! Mieux vaut si l’on en prend, en mettre sur du pain sans gluten, à base de farine de sarrasin par exemple.
La recette du petit-déjeuner idéal…
Je vous livre ici la recette du petit-déjeuner de champion préconisée par le nutritionniste Anthony Berthou :
- Un à deux oeufs à la coque (à remplacer par 15 à 20 g de protéines de chanvre en poudre pour les végétaliens ou un mélange riz/pois).
- 30 g d’oléagineux (noix, noix de cajou, amandes, noisettes) et 1 à 2 noix du Brésil. Non grillés c’est mieux, et avec la peau, sauf pour les personnes qui ont du mal à la digérer.
- 1 fruit coupé en dés : une banane, une pomme ou une poire selon la saison (bio bien sûr et avec la peau) et éventuellement 5 à 6 myrtilles en saison ou 1 kiwi. Limiter le tout à une portion de fruit (150 g). Vous pouvez éventuellement rajouter une dizaine de baies de goji bio.
- 15 à 20 g de graines de lin fraîchement moulues, idéalement sous forme de préparation en poudre issue de la filière Tradilin, ou une cuillère à soupe d’huile de lin, de cameline, de noix ou de chanvre. Toujours vierge et première pression à froid.
- Pour ceux qui apprécient le goût : ¼ de cuiller à café de cannelle en poudre.
- Si vous souhaitez une texture onctueuse, rajouter ½ à 1 yaourt non sucré de chèvre, brebis ou soja.
- Eventuellement 20 à 30 g de flocons d’avoine, d’épeautre ou de châtaigne, ou une tartine de pain sans gluten de qualité (sarrazin) avec une cuillère à café de purée d’amandes complètes.
- Un thé vert bio infusé à 85 degrés.
Le petit-déjeuner n’est qu’un élément de notre alimentation au quotidien. Changer ses habitudes alimentaires concernant ce repas constitue une rupture fondamentale (et nécessaire) pour aller vers une nutrition santé.
Mais on peut aller beaucoup plus loin.
C’est pourquoi l’Institut pour la Protection de la Santé Naturelle propose une formation dédiée à la nutrition qui aura lieu à Paris les 10 et 11 décembre 2016 avec Anthony Berthou, nutritionniste et spécialiste de micronutrition. S’inscrire ici.
Deux journées exceptionnelles de formation !
Afin de vous permettre de passer à la vitesse supérieure en matière de nutrition, nous avons décidé de lancer une formation très complète sur deux jours en face à face avec lui.
Ce programme, conçu spécifiquement pour l’Institut pour la Protection de la Santé Naturelle, vous donnera les bases avancées de la nutrition santé.
Nous vous proposons un parcours complet, original et passionnant qui s’articule autour de différents axes et notamment :
- Comprendre les 7 piliers de la nutrition
- Comment prendre soin de son intestin et éviter l’inflammation chronique ?
- Connaître les micronutriments indispensables
- Les déficits nutritionnels : les détecter et les prévenir
- Prendre conscience de l’environnement agro-alimentaire
- Comment se repérer dans la jungle des étiquettes et des ingrédients ?
- Ce qu’il faut penser des compléments alimentaires
- Repenser les modes de cuisson pour conserver les qualités nutritionnelles
- Comment personnaliser et adapter son alimentation ?
- Les questions qui fâchent : gluten, jeûne, régimes (vegan, paléo, Okinawa, méditerranéen…)
- Adapter la nutrition des enfants et des adolescents
- Comment bien nourrir son cerveau pour un fonctionnement optimal
Mais qui est donc ce formateur, sélectionné avec soin par l’Institut pour la Protection de la Santé Naturelle ?
Un expert en nutrition au parcours atypique
Au départ, il y a un sportif de haut niveau, attiré par les défis impossibles et que rien n’arrête. Anthony Berthou a d’abord été membre de l’équipe de France junior de triathlon et passionné pour ce que l’on appelle les “Ironman”, ces parcours sportifs de l’extrême.
De cette fougue et de cet esprit de compétition sont restées trois grandes passions devenues des compétences abouties :
- La nutrition des sportifs
- La connaissance du corps et la préservation de ses performances
- La capacité à accompagner des personnes (des sportifs au départ) dans la préparation de grands défis.
C’est la raison pour laquelle Anthony Berthou continue à travailler auprès des sportifs de haut niveau qu’il accompagne notamment dans leur préparation des Jeux Olympiques.
Il est ainsi :
- Nutritionniste auprès d’athlètes de haut niveau et d’équipes de France, notamment dans le triathlon, le trail, l’ultra-endurance, le cyclisme, le ski alpin ou de fond, la voile, etc.
- Formateur auprès des professionnels du sport
- Consultant en stratégie nutritionnelle en entreprise
A ces bases très solides, Anthony Berthou a ajouté une connaissance fine et approfondie de la nutrition et de la micronutrition faisant de lui un expert incontournable dans le domaine aujourd’hui.
Etoile montante de la santé naturelle
Nutritionniste depuis 2004, il s’est d’abord installé en cabinet, puis a été directeur de Recherche & Développement au sein d’un laboratoire de compléments alimentaires avant de créer en 2010 un algorithme d’aide au diagnostic des déficits nutritionnels à destination des professionnels de santé.
Ce travail lui a valu d’être le lauréat du concours national des entreprises innovantes organisé par le Ministère de la Recherche et de l’Enseignement Supérieur.
Installé en indépendant depuis plus de 10 ans, sa mission désormais est :
- d’accompagner des personnes au quotidien par des programmes de nutrition ciblés
- surtout de transmettre au plus grand nombre son précieux savoir
- de proposer un enseignement ouvert, professionnel et scientifique sur la nutrition.
Et en effet, sa compétence de terrain affinée par différentes formations est aujourd’hui reconnue internationalement par de nombreuses institutions. Anthony Berthou enseigne ainsi :
En Suisse :
- Ecole Polytechnique Fédérale de Lausanne (EPFL) : Semestre d’enseignement auprès des étudiants-polytechniciens sur les enjeux mondiaux de l’alimentation
- Université des Sciences de Lausanne : Coordinateur scientifique et enseignant au sein du CAS (Certificate of Advanced Studies) pour professionnels de santé.
En France :
- Université des Sciences de Paris-Evry : DU Exercice, Entrainement et Nutrition
- Université de Pharmacie d’Angers : Sensibilisation à la micronutrition
- Université des Sciences du Sport de Rennes : licence et master Nutrition et Activités Physiques.
C’est notamment la qualité des enseignements d’Anthony Berthou, à la fois précis et didactiques, qui en font un enseignant de plus en plus recherché des universités et écoles proposant des cursus en nutrition et en santé intégrative.
Enthousiaste, actif, ce grand communicant est aussi un conférencier de haut vol. Il est intervenu auprès de différents publics dans de très nombreux cénacles dont :
- L’Assemblée Nationale (Conférence sur l’accompagnement nutritionnel des chirurgies bariatriques)
- Le Collectif National des Associations d’Obèses
- Les Académies de Santé Naturelle (nutrition et inflammations)
Et encore tout récemment au 2e Congrès International de Santé Naturelle organisé par l’IPSN (Conférence sur la nutrition et le sport). Son intervention a été longuement applaudie et nous a confortés dans notre projet de créer une formation avec lui pour vous faire bénéficier de ses connaissances étendues sur le sujet.
Une personnalité ouverte et généreuse
Vous le verrez de vous même en vous inscrivant à la formation que nous proposons : Anthony Berthou est un homme ouvert, chaleureux et généreux.
C’est la raison pour laquelle il est impliqué dans autant de projets : il se met toujours à la disposition des autres pour partager sa passion.
C’est ainsi qu’il intervient régulièrement dans les médias (spécialisés ou non) comme BFM TV, France 2, France 3, Canal +, France 5, France Info, RTL, France Bleu, Huffington Post, etc.
Il a également accepté d’être membre du Comité Scientifique de la Fondation du Sport Français et nutritionniste référent auprès du Collectif National des Associations d’Obèses (CNAO).
Et ce n’est pas tout ! Il est depuis longtemps expert engagé pour les projets “Nomade des mers” et pour la Fondation Ashoka, créée en Inde dans les années 80, qui soutient les entrepreneurs innovants dans des domaines humanitaires (éducation, droits de l’homme, santé et développement durable).
Généreux et patient avec les personnes qu’il accompagne, il est plus qu’un enseignant, c’est un véritable guide !
Une éthique de la nutrition
Les qualités humaines d’Anthony Berthou ainsi que son parcours personnel l’ont amené à accompagner son enseignement d’une véritable “éthique” de la nutrition.
Conscient des limites du sport de haut niveau, qu’il a dû lui-même arrêter à la suite de problèmes de santé, il a développé une formation en nutrition fondée sur le respect du corps et des rythmes de chacun.
Il défend une nutrition personnalisée, globale et écologique.
Comme il le dit lui-même :
“Ma plus grande joie est de pouvoir partager mes réflexions et ma passion autour des trois piliers fondamentaux de la santé : promouvoir une nutrition-plaisir respectueuse de la santé associée à une activité physique régulière, en pleine conscience.”
Vous l’aurez compris, Anthony Berthou est un professionnel accompli, précis dans ses enseignements, fin dans la connaissance de la nutrition et des personnes. Il sait que changer son alimentation peut prendre du temps. Il sait également que derrière la nutrition se jouent des enjeux plus larges, psychologiques, individuels et collectifs.
Mieux que personne, il pourra, en tenant compte de ce contexte propre à chacun et chacune, délivrer un enseignement riche, complet, professionnel et humain.
Un coaching personnalisé mais intense !
Attention ! Cette rencontre avec Anthony Berthou est réservée aux personnes qui veulent vraiment prendre leur vie en main ! Celles qui sont prêtes à voir leur connaissances et préjugés se faire égratigner, à remettre en cause leur mode de pensée, transformer leur mode de vie à jamais…
C’est un week-end très intense qui vous attend. Vous allez devoir intégrer une mine d’informations utiles, parfois techniques, toujours pratiques.
Vous apprendrez en 2 jours tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la nutrition santé, un condensé de savoir à ingérer et à digérer pour une vie plus saine et équilibrée lors de votre retour chez vous.
L’enseignement d’Anthony Berthou ne vous laissera certainement pas indifférent et vous conduira inévitablement à un changement de vie. Vous allez entrer dans un monde de savoir, mais tous n’y sont pas préparés !
A l’issue de cette rencontre avec Anthony Berthou, vous aurez toutes les cartes en main pour faire les bons choix alimentaires, instinctivement et sans prise de tête. Les courses ne seront plus qu’un moment de plaisir. Vos repas quotidiens auront d’autres saveurs.
Une formation capitale pour toutes celles et ceux qui souhaitent changer de vie…
Anthony Berthou vous emmènera beaucoup plus loin que vous ne l’auriez imaginé…
Que vous soyez un grand passionné de nutrition ou un professionnel de santé, tentez l’expérience…
Naturellement vôtre,
Augustin de Livois
Sources :
[1] Nutrients 2015, 7, 1565-1576; doi:10.3390/nu7031565
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