Affaire de l’aluminium dans les vaccins : pièces du dossier

Communications officielles à l’intention des institutions

En 1987 l’Institut Pasteur alertait le gouvernement : déjà de nombreuses études révélait les effets toxiques de l’aluminium dans les vaccins. 30 ans plus tard, Maître Jaqueline Bergel se fait le porte-parole d’un collectif de français. L’affaire est envoyée devant le Conseil d’Etat. Le collectif exige le retrait de cet adjuvant toxique. Il s’appuie sur les expertises de juristes et de professionnels de la santé.

Communications officielles de la part des institutions

Plusieurs décisions du Conseil d’Etat en faveur de l’indemnisation de victimes des vaccins. L’institution reconnait l’existence possible d’un lien de causalité entre vaccins et pathologies. Il est question des vaccins à l’aluminium et des symptômes de la myofasciite à macrophages. L’ANSM partage ce constat. Elle demande à la puissance publique de financer des études approfondies pour en clarifier l’étendue.

Médias conventionnels : articles de presse et vidéos

Deux thèses opposées s’affrontent : pour les uns l’adjuvant aluminium est toxique, pour les autres il ne l’est pas. Des scientifiques, des associations et des citoyens font bloc autour de Maître Bergel : ils demandent l’interdiction de cet adjuvant. En face, le gouvernement, l’OMS, l’Académie nationale de médecine, l’Académie nationale de pharmacie, le Haut Conseil de la santé publique, et le Conseil d’Etat défendent l’aluminium.

Médias alternatifs : articles de presse et vidéos

Les médias alternatifs informent le public. Le Conseil d’Etat est favorable à l’indemnisation des victimes de vaccins : il admet un lien entre vaccins à l’aluminium et graves problèmes de santé. Les scientifiques préfèrent l’adjuvant phosphate de calcium, mais des raisons industrielles font choisir l’aluminium. Le film « l’alu total » démontre les dangers de l’aluminium, tandis qu’Isabelle Adjani dénonce un « crime contre l’immunité ».

Etudes scientifiques

Sur le danger des vaccins

Publiée en 2018, cette étude a comparé la mortalité de deux groupes d’enfants : vaccinés Vs non vaccinés. Elle a conclu que les enfants vaccinés mourraient plus souvent : « les enfants âgés de 6 à 35 mois, vaccinés avec le DTP avaient tendance à avoir une mortalité plus élevée que les enfants non vaccinés avec le DTP. Toutes les études sur l’introduction du DTP ont révélé une mortalité globale accrue ».

Sur le danger de l’aluminium en général

Chez l’animal, l’aluminium est identifié comme perturbateur endocrinien. Il endommage les glandes sexuelles et cause des dérèglements hormonaux, une baisse du taux de testostérone, une baisse de la production de sperme et de sa qualité, et une suppression du développement des testicules. Chez l’homme, l’aluminium diminue le nombre de spermatozoïdes et augmente le risque de démence, notamment de type Alzheimer.

Sur le danger de l’aluminium dans les vaccins

La communauté scientifique a critiqués en détaille les études existantes sur l’adjuvant aluminium. Elle juge que « les études disponibles constituent des bases très insuffisantes ». Chez l’homme, cet adjuvant peut causer des maladies auto-immunes, l’autisme, et la myofasciite à macrophages. Chez l’animal, il est impliqué dans les maladies auto-immunes, le cancer, les inflammations neuronales et les altérations du comportement.

Prises de position publiques de scientifiques

De nombreux scientifiques demandent le remplacement de l’adjuvant aluminium par le phosphate de calcium. Serge Rader et les Prs Ghérardi, Fourtillan et Exley sont unanimes : la dose totale de 3,835mg d’aluminium injectée dans les bébés est toxique. Les Prs Carpentier et Montagnier invoquent le principe de précaution. Le Pr Montagnier va plus loin : il réclame une enquête pour chaque mort subite suivant une vaccination.

Interventions d’associations

L’association E3M résume l’actualité des connaissances scientifiques sur l’aluminium dans les vaccins. Elle alerte sur les effets indésirables de l’aluminium injecté ou ingéré, et questionne sur sa synergie avec les autres métaux lourds. L’association des diplômés de l’Institut des Assurances de Lyon explique que « le risque de développement est une certitude, certes erronée, mais partagée par tous, de l’innocuité d’un produit ».

Livres écrits par des médecins-chercheurs spécialistes des adjuvants aluminium

Synopsis. Depuis quelques années, une défiance croissante envers les vaccins gagne la population. Graves effets secondaires, adjuvants aluminiques toxiques … Le Pr Romain Gherardi lève le voile sur ces obscurs adjuvants, présents dans la composition de nombreux vaccins, et auxquels il a consacré vingt années de sa vie. Son credo : pour sauver la vaccination, il est temps de ne plus mentir.

Synopsis. A la lumière de la découverte du syndrome auto-immunitaire induit par des adjuvants, ou « ASIA », Vaccines and Autoimmunity explore le rôle des adjuvants – en particulier l’aluminium dans différents vaccins – et la manière dont ils peuvent induire diverses manifestations cliniques auto-immunes chez les personnes à prédominance génétique.

Témoignages

Des parents témoignent. Le fils de Craig est devenu diabétique de type 1 alors qu’il avait 9 ans. Les vaccins ont provoqué la maladie auto-immune. Marie-Pierre raconte qu’à la suite d’une double injection de vaccins, Infantrix + Prévenar, à 5 mois, son fils a fait sa première crise convulsive, qualifiée de « post-vaccinale » dans les compte-rendu médicaux. Depuis, Jérôme souffre d’une atteinte neurologique et de fatigabilité musculaire.

Page de vente d’un fabriquant de vaccins vétérinaires

Contrairement aux humains, les chats ont droit à des vaccins sans aluminium. Le laboratoire Mérial a retiré l’aluminium de ses vaccins pour chats, suite à une épidémie de sarcomes félins, une forme de cancer. En 2016, le laboratoire vantait la qualité de ses produits : « les vaccins félins de la gamme PUREVAX sont purs – ils ne contiennent pas d’adjuvant chimiques ayant le potentiel de provoquer des réactions locales ou allergiques ».

Documents complémentaires fournis par les experts en marge de la procédure

Pour enrichir l’argumentaire en faveur du retrait de l’aluminium. Le phosphate de calcium était anciennement utilisé comme adjuvant : aucun argument scientifique ne s’oppose à son retour. La Justice a appliqué le principe de précaution à la santé humaine sur un cas d’installation d’antenne relais. Les laboratoires ont arrêté d’utiliser l’adjuvant mercure, malgré l’absence de preuve démontrant formellement sa toxicité.