De l’oxygène contre le cancer : mythe ou réalité ?
Chère amie, cher ami,
Depuis quelques années, on entend parler de plus en plus de l’ozone (O3) contre certaines maladies, notamment les cancers.
Cette technique thérapeutique a même un nom : il s’agit de l’ozonothérapie.
Il existe différentes manières de la pratiquer.
L’idée générale est d’utiliser de l’oxygène pour nettoyer et redynamiser votre sang et ainsi renforcer les mécanismes immunitaires et vitaux de votre corps.
C’est lui qui fait le travail, mais l’oxygène l’y aide.
Elle est pratiquée aux Etats-Unis et dans certains pays d’Europe comme la Suisse.
En France, suivre une cure d’ozonothérapie légalement est quasiment impossible.
Ce qui est autorisé en revanche, c’est le bol d’air Jacquier®.
Des cures pratiquées en clinique
Il ne s’agit pas en tant que tel d’un traitement par l’oxygène mais d’une technique qui permet d’améliorer la biodisponibilité de l’oxygène dans l’organisme.[1]
Certaines cliniques pratiquent ces cures.
Voici par exemple ce qu’en dit le Dr Norbert Avetyan dans la préface du livre, “Respirez la santé”, [2]de la naturopathe Laurence Salomon consacré au fameux bol d’air :
C’est grâce à Michel Jérôme, à qui je veux rendre ici hommage, que j’ai eu la chance de découvrir le bol d’air jacquier. Il l’utilisait déjà depuis quelques mois lorsqu’il est venu me consulter pour soigner son cancer. Le Dr Levy, cancérologue, m’avait également fait part de ses connaissances à ce sujet.
La clinique Labrouste est maintenant équipée de 10 appareils et cela fait un an que nous les utilisons de façon rigoureuse. Quatre Bols d’Air sont en place fixe et six autres sont prêtés aux malades en cours de traitement anticancéreux.
Tous mes malades ne bénéficient pas du Bol d’Air. Seuls ceux qui le souhaitent y ont recours. (…) Concrètement, depuis maintenant un an que nous pratiquons sérieusement la méthode, j’ai constaté que les malades sous chimiothérapie et radiothérapie supportaient mieux ces traitements. Leur vitalité étant améliorée, cela se répercute sur une meilleure qualité de vie Ils se sentent moins affaiblis par les traitements et peuvent par conséquent poursuivre leur chimiothérapie et leur radiothérapie dans les délais prévus. (…)
Le bol d’air mérite d’être davantage connu, notamment dans les milieux scientifiques et auprès du grand public. Dans l’avenir, il sera certainement de plus en plus utilisé et reconnu pour son efficacité.
Les petites filles de René Jacquier
René Jacquier était un savant de haut vol. Il a le triste privilège de figurer dans le tome 1 des “savants maudits” de Pierre Lance.[3] La série compte 4 tomes.
Que René Jacquier figure dans le premier montre l’importance du personnage même si lorsqu’il s’est lancé dans cette aventure éditoriale, Pierre Lance savait qu’il écrirait plusieurs tomes et que tous ceux qui y figurent sont dignes de l’attention des lecteurs ouverts et curieux que vous êtes !
En tout cas, René Jacquier était un chimiste de haut vol.
En 1945, sa famille est installée à Rio de Janeiro où il travaille pour un grand laboratoire français depuis 10 ans.
Ses deux petites filles dont la plus jeune n’a encore que 18 mois contractent la coqueluche. Les quintes de toux persistent et le médecin ne sait pas quoi faire. Il recommande alors à René Jacquier de prendre l’avion avec ses filles. Ce voyage les a guéri toutes les deux ! [3]
Surpris et curieux ,René Jacquier s’est demandé comment ce prodige avait eu lieu.
Son hypothèse est que l’ascension rapide de l’avion joue sur l’oxygène dans le sang.
De déductions en expérience, il en vient à fabriquer et breveter le premier Bol d’Air Jacquier® en 1946 et 1947.[3]
Aujourd’hui cette technologie est développée par le laboratoire Holiste® qui l’a souvent présentée lors des congrès IPSN.[4]
Des essences de pin pour vous oxygéner
L’objectif du bol d’air Jacquier® est de permettre à votre organisme de mieux respirer. Les cellules notamment sont mieux oxygénées.
René Jacquier avait observé que depuis l’Antiquité, les lieux de santé se trouvaient souvent perdus au milieu de forêts de pins et de sapins. [4][5]
Cela lui a donné l’idée de tester différentes essences de pin. Et c’est l’essence de pin des landes (Pinus pinaster) qui a trouvé grâce à ses yeux.
Cette essence est riche en alpha pinènes et en bêta pinènes qui dans certaines conditions météorologiques se chargent en oxygène. [4][5]
Avec de l’huile essentielle de pin de landes, René Jacquier est parvenu à recréer dans son bol d’air ce phénomène naturel.
Cela donne un oxygène hautement assimilable que le corps distribue facilement aux tissus du corps et aux cellules. L’ensemble de l’organisme est ainsi régénéré.
Le problème du prix
Depuis le début de ses recherches, les scientifiques occidentaux ont eu du mal à reconnaître l’extraordinaire valeur du travail de René Jacquier.
Heureusement, un journal scientifique brésilien, la Revista Brasileira de Medicina a reconnu et vanté la qualité du travail du chercheur. D’après Pierre Lance, cet article archivé à l’OMS a permis de donner du crédit au Bol d’Air Jacquier. [3]
De là à ce que la sécurité sociale française rembourse l’achat d’une machine, il y a un gouffre qui, pour l’heure, ne semble pas prêt d’être comblé.
Les patients doivent donc se débrouiller. Or il s’agit d’un appareil qui coûte plus de 1000 euros, ce que des médecins en mutualisant peuvent s’offrir mais pas ou peu de particuliers.
Heureusement, certaines associations ou centres de soins se sont dotés de la machine et les laboratoires Holistes® sont également organisés pour permettre des locations de matériel.
Si vous êtes concernés, le plus simple est donc de les contacter directement ou de trouver un centre de soin qui pratique cette méthode.
Pour certaines personnes le Bol d’Air Jacquier® est une évidence, pour d’autres cette thérapeutique demeure obscure.
Mais lorsque l’on est malade, il est bon de mettre toutes les chances de son côté.
Pourquoi donc se priver d’une technique qui ne présente aucun risque mais qui peut vous aider à traverser un moment difficile, voire à accompagner un cancer ou une maladie grave ?
Vous l’avez compris, il ne s’agit pas de remplacer un quelconque traitement médical. Il est évident que si vous ou l’un de vos proches est malade, ce qui compte avant tout, c’est le dialogue que vous allez nouer avec votre médecin.
Mais si vous ne connaissiez pas le Bol d’Air Jacquier® et que celui-ci vous apporte un peu de bien-être d’une manière ou d’une autre, alors cette lettre aura été utile !
Naturellement vôtre,
Augustin de Livois
bonjour Monsieur, je vous remercie pour votre article,
je ne connaissais pas le bol d’air Jacquier mais je suis persuadée qu’il est efficace
personnellement je connais le « bol d’air tout court »….je ne veux pas faire un minable trait d’humour mais depuis toujours j’ai un besoin vital de sortir….. , le vent , le pluie , le soleil, la neige …la campagne la mer la montagne la forêt à défaut la ville ….j’adore …. et « prendre l’air¨ » comme on dit me rend la forme que je perds en restant enfermée .
Quand j’ai eu la coqueluche ,persistante , il y a longtemps , notre médecin traitant a lui aussi évoqué un vol que finalement je n’ai pas eu à effectuer
je ne peux plus marcher des heures comme avant …(il n’y a pas si longtemps ! ) … mais je le fais dès que je peux et j’affirme que chaque sortie me soigne, me rend plus « vivante » …et , par exemple , ma vue , un peu trouble parfois, redevient parfaitement claire après chaque sortie …
donc oui pour l’oxygène quand on est immobilisé….
et tant que vous pouvez ,
si vous n’étes pas allergique à la marche , j’en ai toujours connu dans mon entourage avant la mode dujogging , ce qui fait que toute jeune je sortais seule…et maintenant aussi…
sortez …. vive le vent
et encore un grand merci Monsieur ND