La fin des antibiotiques ?

Chère amie, cher ami,

On prédit régulièrement dans la presse la fin des antibiotiques. Les autorités de santé, elles-mêmes, l’affirment.

Récemment, le Directeur du CDC, le Center for Disease Control (1), Tom Frieden, a annoncé, lors d’un congrès de médecins, qu’il existe des « super bactéries » qui résistent aux antibiotiques.

Le CDC est, aux Etats-Unis, un peu l’équivalent de l’agence européenne du médicament pour l’UE ou de l’ANSM en France.

L’influence du CDC est mondiale. Cette institution :

  • est en lien DIRECT avec les plus grandes firmes pharmaceutiques de la planète ;
  • dialogue avec les ministères de la santé du monde entier ;
  • détient, par ailleurs, de nombreux BREVETS de santé dont dépend la santé de millions de personnes.

Et que dit son Directeur, Tom Frieden ?

Que nous devons faire face à une “situation inquiétante ».

Il estime que les bactéries évoluent mais pas les médicaments.

Il craint que ce phénomène ne ramène l’humanité à l’ère d’avant l’existence des antibiotiques.

Vous savez ? L’époque où l’on mourait d’une pneumonie ou d’une infection urinaire.

L’annonce officielle de l’ONU !

L’ONU elle-même, lors de son assemblée générale du 21 septembre 2016, s’est émue de ce péril (2).

Le Président de cette réunion, Peter Thomson, a déclaré que la résistance aux antimicrobiens menaçait la réussite des objectifs de l’ONU.

De son côté, la Directrice Générale de l’OMS, le Dr Margaret Chan, considère que la résistance aux antimicrobiens représente une “grave menace” pour la santé humaine.

Ils annoncent une catastrophe !

De quoi ont peur tous ces médecins et scientifiques ?

Ils craignent que la résistance aux antibiotiques ne transforme des infections courantes, faciles à soigner aujourd’hui, en cause récurrente de mortalité.

Qu’est-ce qu’une infection ?

C’est une prolifération de micro-organismes (bactéries, virus, parasites…) à un endroit donné du corps.

Les bactéries, comme Escherichia Coli (infection urinaire) ou les staphylocoques (infection cutanée), sont connues et redoutées des médecins.

Surtout si les antibiotiques se révèlent inefficaces pour les détruire !

Qu’en pensent les autorités françaises ?

En France, ce problème a été souligné par un rapport officiel du Ministère de la Santé de 2015 (3). Ce document indique que chaque année :

  • 150 000 patients développent une infection liée à une bactérie multirésistante,
  • et 12 500 personnes en meurent

L’INSERM, de son côté, affirme que l’antibiorésistance fait 700 000 morts dans le monde actuellement.

L’institution prévoit qu’en 2050, ce chiffre pourrait monter à 10 millions de personnes par an si rien n’est fait (4).

Et ailleurs dans le monde ?

Par ailleurs, un rapport officiel commandé par le gouvernement britannique en 2016, estime que l’antibiorésistance est la plus grande menace sanitaire mondiale (5).

Aux Etats-Unis, le staphylocoque doré tue plus que le sida. (5)

En Europe, le Centre européen de contrôle des maladies évalue à 25 000 le nombre de décès par an résultant de la résistance aux antibiotiques (6)

Ce n’est pas une petite menace.

Une mutation provoquée par l’homme !

La cause principale de ce problème est la surconsommation d’antibiotiques par les humains et les animaux d’élevage.

En effet, les bactéries, organismes vivants, s’adaptent pour survivre à l’environnement.

En contact avec des antibiotiques naturels ou de synthèse, elles peuvent développer des résistances.

Cette capacité existe depuis un milliard d’années…

Mais dans la nature, avant l’arrivée des antibiotiques de synthèse, c’était rare.

Et les bactéries, pour la plupart, perdaient leur capacité de mutation.

A l’heure actuelle, la présence régulière d’antibiotiques dans l’environnement a obligé les bactéries à réagir.

Elles mutent…

Un phénomène planétaire

Les bactéries, qui parviennent à s’adapter, informent les autres par l’hérédité ou le contact avec d’autres bactéries.

Des familles entières de bactéries deviennent résistantes.

Prenez le staphylocoque doré par exemple. Partout dans le monde, cette bactérie est devenue plus résistante.

L’ennui est que cette bactérie provoque des infections graves.

Dans le pire des cas, elles sont mortelles.

Aux Etats-Unis, selon un rapport de 2011 (6), 47% de la viande est infectée au staphylocoque doré.

Dans ce même pays, les infections au staphylocoque doré sont passées de 2000 en 1993 à 370 000 en 2005. Et la progression continue (6).

Quelles pistes proposent nos gouvernants ?

En dépit de son annonce fracassante, la seule proposition que Tom Frieden, Directeur du CDC, a formulée, a été de réorganiser les hôpitaux pour limiter le risque bactérien.

Il en appelle à la créativité des scientifiques et des médecins face à ce nouveau problème.

Dans le rapport du gouvernement français, le Ministère propose quatre « axes » d’action :

  • axe 1 : approfondir les recherches, en particulier de nouveaux produits luttant contre l’antibiorésistance
  • axe 2 : mieux suivre l’évolution globale du phénomène via des indicateurs normalisés et partagés
  • axe 3 : améliorer l’usage des antibiotiques
  • axe 4 : accroître la sensibilisation des populations au bon usage des antibiotiques

Bref, des mesures « cosmétiques ».

Comme pour le réchauffement climatique ou la pollution de l’air, on regarde le fléau s’accroître. On le mesure. On établit des rapports officiels alarmistes ou non, que de toute façon personne ne lit et qu’on enterre.

De leur côté, les chefs d’Etat lors de la réunion à l’ONU se sont “engagés” à lutter contre les causes de la résistance aux antimicrobiens dans les domaines de la santé humaine, la santé animale et l’agriculture

Vous y croyez, vous ?

Pourquoi la catastrophe ne devrait pas arriver pour vous.

En attendant que les autorités n’agissent, j’ai mieux à vous proposer.

Il existe des techniques alternatives pour contrer les infections.

C’est notamment le cas des bactériophages et des techniques par la vitamine C à haute dose.

En connaissant ces techniques, en apprenant à les maîtriser, vous aurez une corde de plus à votre arc pour affronter cette menace, si elle se confirme.

Et c’est exactement pour cela que nous avons mené pour vous une GRANDE ENQUÊTE sur la vitamine C, qui réunit les informations les plus pertinentes et utiles de l’IPSN sur le sujet depuis 3 ans.

Vous y trouverez notamment :

  • Un dossier intitulé “la Révolution vitamine C”. Il s’agit d’une enquête complète sur la vitamine C à haute dose, utilisée par des médecins expérimentés en tant que traitement médical. Il s’agit non d’une solution de santé mais d’une véritable technique révolutionnaire, utilisée au Japon ou aux Etats-Unis dans certains hôpitaux et cliniques de renom.
  • Un dossier sur la vitamine C au quotidien, intitulé “5 idées reçues sur la vitamine C”. Ce document vous permet de comprendre pourquoi cette vitamine est beaucoup plus importante que vous ne le pensez.Si la vitamine C à haute dose peut avoir des résultats impressionnants, il ne faut surtout pas sous-estimer l’utilité d’y avoir recours de manière régulière, voire quotidienne.

Découvrez l’enseignement de grands spécialistes de la vitamine C

Au-delà de ces documents, nous tenons à vous donner accès à des vidéos inédites.

A l’occasion de notre 3e Congrès International de Santé Naturelle (2017), nous avons proposé à trois spécialistes de donner une série de « conférences d’experts » sur les traitements à haute dose par la vitamine C.

Il s’agit de :

  • Thomas Levy (MD) (Etats-Unis), cardiologue et membre de la société Américaine de Cardiologie, spécialiste reconnu de la vitamine C. Il a écrit 7 livres sur le sujet et publié de nombreux articles. Il est également conférencier international.
  • Ron Hunninghake (MD) (Etats-Unis), directeur de la clinique Riordan (Etats-Unis). Il a établi un protocole de traitement du cancer par la vitamine C reconnu dans le monde entier. Il fait partie des médecins de référence dans la médecine orthomoléculaire.
  • Atsuo Yanagisawa (Japon), cardiologue. Il a publié 141 articles scientifiques. Médecin hospitalier à Tokyo, il a également été le directeur d’un centre de médecine intégrative dans la même ville. Il est Président de la société Internationale pour la Médecine Orthomoléculaire.Au Japon, le Dr Atsuo Yanagisawa est considéré comme un héros. C’est un expert reconnu par les autorités et très respecté de tout le peuple nippon. Ses travaux sur les traitements de la vitamine C contre les radiations ont été mis en pratique lors de la catastrophe de Fukushima. Il est perçu comme un bienfaiteur national !Ces conférences ont été organisées par l’une des références en France sur la vitamine C : Michel Dumestre.

Naturopathe et éditeur, Michel Dumestre a traduit et publié en France l’un des livres du Dr Thomas E. Levy, La panacée universelle, 2016.

A ce jour, il s’agit de l’ouvrage le mieux référencé qui existe sur la vitamine C, rédigé en français.

Pour la première fois a été présenté au public français l’ensemble des données démontrant l’efficacité des traitements à haute dose de vitamine C.

Des traitements interdits en France !

Pour prendre la mesure de l’importance de ces informations, il faut comprendre qu’en France, se faire soigner avec des traitements à haute dose de vitamine C est très difficile.

Les médecins qui pratiquent ces traitements, même s’ils les maîtrisent totalement, même s’ils sont dûment formés, sont toujours attaqués.

J’en connais personnellement plusieurs à être dans cette situation. Je ne peux pas parler d’eux au risque de gêner les procédures dans lesquelles ils se trouvent engagés.

Heureusement, je sais qu’ils sont à la fois très bien défendus et très bien informés.

En clair, la science est de leur côté.

Ils disposent de tous les arguments et notamment ceux présentés dans nos vidéos, pour montrer à la face du monde, à commencer par celle de la justice française, les mérites des traitements à base de vitamine C à haute dose.

Les choses pourraient donc évoluer dans un avenir proche.

Je l’espère, tout du moins.

Une information introuvable pour le public francophone !

En attendant, il est très difficile de trouver une information de qualité sur la vitamine C.

Je pense sincèrement que la série de conférences que nous vous proposons est l’une des seules sources de qualité accessibles au public francophone sur le sujet.

J’espère que cela changera dans les années à venir.

Si ces vidéos vous donnent l’envie d’en parler, d’en tirer des blogs, des livres, des tutoriels, j’en serais très profondément heureux !

Cette information doit circuler. Et c’est, du reste, la raison pour laquelle nous la proposons à un prix très très raisonnable, en dépit :

  • des longues heures de travail et de stress,
  • et de l’investissement conséquent,

que cette enquête nous a demandés.

L’engagement de l’IPSN

Nous avons mené et rendu publique cette grande enquête parce que :

  • Il y a une urgence à faire connaître cette information qui peut sauver des vies ;
  • Le sujet est très mal connu du public francophone ;
  • C’est un traitement auquel le public et les médecins DOIVENT avoir accès.

La révolution vitamine C !

Je crois que le moment est venu pour les médecins comme pour les patients de se révolter.

Ils doivent le faire ENSEMBLE

Car j’ai bien précisé qu’il s’agissait d’un traitement.

Vous ne pouvez pas vous lancer dans ce type de thérapie sans l’avis et le suivi de votre médecin !

C’est pour cela que ce combat doit être mené de front : médecins et patients ensemble.

Médecins, sachez que l’attente des patients est considérable, mais que les patients vous soutiennent.

Patients, sachez que vos médecins sont attaqués. Ils ont besoin de tout votre soutien !

Ensemble, nous pourrons lancer la RÉVOLUTION VITAMINE C !

L’histoire d’Allan Smith

Je ne dis pas cela par effronterie.

Mais parce que je SAIS que c’est possible.

Il y a un précédent.

Dans le cadre de notre enquête, nous avons recueilli le témoignage du premier patient à avoir été soigné et guéri à l’hôpital, grâce à un traitement à haute dose de vitamine C.

Il s’agit d’Allan Smith, un fermier néo-zélandais.

Il était atteint de grippe porcine, d’une pneumonie avancée, d’une leucémie et d’un scorbut.

Il saignait du nez, de la bouche et des intestins. Il était dans le coma. Ces médecins considéraient qu’il était condamné.

Dans un premier temps, les médecins qui le soignaient ont catégoriquement REFUSÉ de le soigner avec un traitement à haute dose de vitamine C.

Mais la famille a insisté. Elle connaissait les vertus de cette technique.

Ils ont été jusqu’à menacer l’hôpital.

Les médecins ont cédé.

Le traitement a été administré. Quelques jours plus tard, Allan Smith était tiré d’affaire !

C’est une histoire invraisemblable. Elle montre la force que peuvent avoir les patients.

Allan Smith et sa famille ont montré à la face du monde qu’il était possible de se soigner à l’hôpital avec des hautes doses de vitamine C.

Grâce à lui, il est maintenant possible pour des patients de demander à recevoir un traitement complémentaire à base de vitamine C à haute dose à l’hôpital en Nouvelle- Zélande.

Voilà ce qu’il faut chercher en France et en Europe.

C’est pour cela que le témoignage d’Allan Smith est si important. Il est inspirant pour des patients et médecins du monde entier.

Lisez bien ce qui suit.

Vous allez comprendre pourquoi ces traitements à haute dose de vitamine C sont si importants à connaître, notamment pour lutter contre les infections virales et bactériennes.

Une solution efficace et validée par la science

Dans le cadre des infections virales et bactériennes, le traitement à haute dose de vitamine C est une approche :

  • qui a fait ses preuves et est mesurée par de nombreuses études scientifiques (Vidéo 3),
  • pratiquée par des médecins et praticiens compétents partout dans le monde (Vidéo 4),
  • peu onéreuse et accessible à tous (Vidéo 1) !

Les seules raisons qui s’opposent à son utilisation massive dans tous les hôpitaux du monde entier (de France et de Navarre aussi !) sont : 

  • la réticence des administrations,
  • la méconnaissance des décideurs politiques,
  • le blocage de l’industrie pharmaceutique qui y voit des techniques concurrentes de ses médicaments.

En clair, les freins sont l’ignorance, l’incompétence et l’avidité.

Car nous disposons de toutes les preuves scientifiques validant l’efficacité de la vitamine C dans la lutte contre les infections (9).

La révolution Linus Pauling

Il a reçu deux prix Nobel ! L’un de chimie en 1954, l’autre pour la paix en 1962 (pour sa campagne contre les essais nucléaires). Linus Pauling a été un chercheur hors normes. On lui doit (entre autres) :

  • la découverte des liaisons chimiques. Ses recherches ont permis de faire émerger de nouveaux concepts scientifiques comme l’électronégativité. Ce terme désigne la tendance d’un atome à capter un électron.
    Son travail repose sur la théorie de la mécanique quantique pour expliquer la structure des molécules.
  • la description de la structure en hélice des protéines,
  • des travaux sur des substituts de plasma sanguin et l’anémie,
  • la médecine orthomoléculaire, qu’il a fondée. A partir des années 70, il s’intéresse à l’usage thérapeutique que l’on peut attendre de certains nutriments, dont la vitamine C, dans la prévention des maladies et notamment du cancer.

Il est probable que cette découverte soit la plus importante de toutes.

Pourtant, à l’époque, elle n’a pas suscité l’intérêt voulu.

L’arrivée de la médecine orthomoléculaire est une révolution dans la manière de soigner le patient.

L’idée est de lui apporter la ou les molécules dont il a le plus besoin à un moment donné.

Cela permet à son corps d’être le mieux « armé » possible pour se défendre face à une maladie ou pour retrouver la santé en période de convalescence.

Cette démarche de soin inverse le raisonnement thérapeutique. Le médecin n’est plus « un tueur à gages » chargé de détruire une maladie, mais un stratège qui aide le patient dans son combat en lui donnant les bonnes « armes ».

Elle permet :

  • de développer une médecine personnalisée et efficace.
  • de réduire le dosage des traitements médicamenteux dans de nombreux cas.
  • d’accélérer le retour à la santé.

Le rêve pour le patient et le médecin !

La réticence de l’establishment médical

Linus Pauling aurait dû être ovationné pour ses recherches sur l’usage de la vitamine C à haute dose. Un troisième Nobel n’aurait pas été de trop !

Au contraire, ses travaux ont initié un violent débat entre scientifiques sur le sujet.

Linus Pauling, en dépit de son aura et de son génie, a été très critiqué par certains de ses pairs.

Pour ces derniers, l’idée que l’on puisse soigner avec des vitamines paraissait absurde au moment où la médecine du « tout médicament » triomphait.

Pour répondre aux critiques, Linus Pauling a écrit différents livres recensant les études ayant été menées sur l’usage de la vitamine C dans la prévention des maladies.

La notion de « haute dose »

Beaucoup de critiques de la théorie de Pauling s’expliquent par l’ignorance de ceux qui les portent (dans les années 70, comme aujourd’hui).

Trop souvent on confond la complémentation avec de la vitamine C et le traitement à haute dose de vitamine C.

Soigner avec un gramme de vitamine C par jour une infection grave fait sourire ou craindre le pire. C’est légitime.

Mais les doses dont on parle sont beaucoup plus élevées.

Pour obtenir des résultats probants, les médecins qui pratiquent ce traitement préconisent l’usage de hautes doses, c’est-à-dire de 10 à 100 grammes par jour !

A ce stade, il n’est pas possible d’avaler des cachets. Le traitement se fait par perfusion (Vidéo 1).

La vitamine C entre par les veines et inonde directement le sang.

C’est un traitement quasi médicamenteux.

Toutefois, la molécule proposée existe dans la nature.

Le corps l’utilise donc mieux qu’une molécule de synthèse.

Par ailleurs, elle ne serait pas nocive, même si elle peut créer quelques désagréments (diarrhées par exemple).

La vitamine la plus étudiée au monde

On entend dire parfois au sujet de la vitamine C : « où sont les études ? Où est la science ? ».

Cette critique est inopérante aujourd’hui.

Sur le site Internet Pubmed (7), plus de 58 000 études sont recensées sur la vitamine C, ce qui en fait l’un des nutriments les plus étudiés au monde !

On retrouve par ailleurs 1600 études décrivant les résultats des traitements à haute dose de vitamine C.

Parmi les études sur la vitamine C, 900 ont été effectuées selon les critères habituels de la recherche actuelle, c’est-à-dire randomisée en double aveugle contre placebo.

On est loin d’une « terra incognita » !

Les effets bénéfiques des traitements de la vitamine C sont donc parfaitement connus des scientifiques qui ont étudié la question !

Où sont les chercheurs ?

Pourquoi y a-t-il tant d’études sur la vitamine C ? La raison est simple. Un chercheur doit publier régulièrement dans de grandes revues internationales.

Or, travailler sur la vitamine C est à la fois facile (on est sûr de trouver quelque chose) et peu onéreux.

Résultats des courses, nous disposons d’une quantité faramineuse de données sur la vitamine C.

Les seules études peu probantes – il y a en a tout de même – portent sur de petites doses de vitamine C.

Mais la violence des réactions à l’égard de Linus Pauling et le mépris continuel des autorités de santé à l’égard de la vitamine C, font craindre aux chercheurs de « sortir du bois. »

La vitamine C contre les infections !

Dans l’histoire d’Allan Smith, deux perfusions de 25 grammes de vitamine C au patient ont réduit de manière importante l’infection dans les poumons (confirmé aux rayons X par les médecins).

Il a reçu ensuite des perfusions de 100 grammes par jour et son état s’est nettement amélioré. (9)

Un autre patient, aux Etats-Unis cette fois, est parvenu à sortir d’une situation critique grâce à une traitement à haute dose de vitamine C.

Mordu violemment par son chat, Franck Salaman développe une infection de la main. A l’hôpital, les médecins lui administrent les traitements habituels : vaccin contre le tétanos et antibiotiques.

Cinq semaines plus tard, l’infection est toujours là. On propose à Franck l’amputation ! (10)

Il demande un traitement à haute dose de vitamine C. On lui refuse. Il se fait soigner en clinique privée où les médecins lui administrent, tous les jours, 60 à 75 grammes de vitamine C par perfusion et 30 grammes par voie orale ! Sa main est bandée chaque nuit avec un cataplasme d’ail et d’argile rouge. L’infection cesse au bout de 9 jours.

Il va à son rendez-vous à la date prévue pour l’amputation, où il sert la main de son médecin éberlué ! (11)

Les maladies infectieuses les mieux documentées

Outre ces cas exceptionnels, de nombreuses études viennent étayer l’hypothèse de l’efficacité de la vitamine C à haute dose dans des cas d’infections bactériennes ou virales graves.

Les chercheurs ont notamment montré l’efficacité de traitements utilisant la vitamine C à haute dose pour les maux suivants :

  • la septicémie (infection du sang) (12, 13, 14)
  • le Sida (15)
  • les infections pulmonaires (16)
  • une activité antibactérienne contre différents types de bactéries (17)
  • l’herpès (19)

Notez que, dans la plupart de ces études, le traitement à base de vitamine C à haute dose n’est pas le seul prodigué.

En effet, la vitamine C est associée à d’autres traitements, parfois d’autres antioxydants, ou bien des produits naturels (huiles essentielles) ou encore des antibiotiques.

Ce n’est pas un traitement exclusif.

Plus que complémentaires (qui sous-entend que le traitement vient juste “en plus”), je qualifierais les perfusions de vitamine C comme un « co-traitement ».

Il participe, au même titre que d’autres traitements, à la rémission de la maladie ou au renforcement de son terrain.

Comment se présente notre grande enquête ?

J’imagine, à présent, que vous souhaitez savoir comment se présente notre “grande enquête”.

C’est très simple.

Nous vous proposons une série de vidéos, issues de notre 3e Congrès International de Santé Naturelle.

Ces vidéos ont été montées par une équipe technique.

Elles sont désormais listées sur une page Internet qui se présente ainsi :

Vidéo 1 : La grande conférence de présentation sur la vitamine C, animée par Michel Dumestre.

Vidéo 2 : L’utilisation de la Vitamine C à haute dose, en tant que traitement complémentaire pour le cancer – Ron Hunninghake, directeur de la Clinique Riordan.

Vidéo 3 : Thomas Levy, cardiologue : La vitamine C contre les virus

Vidéo 4 : Atsuo Yanagisawa : vitamine C et radiations, l’exemple de Fukushima

Vidéo 5 : Le témoignage d’Allan Smith

L’offre que nous vous proposons vous permet d’accéder à ces vidéos à vie.

Évidemment, cela sous réserve des aléas technologiques.

Je le mentionne parce qu’aujourd’hui, le monde va très vite et que l’on ne sait jamais !

Cela dit, notez que nous sommes organisés pour faire face à ce type de difficulté.

Nous disposons d’un serveur indépendant et d’une équipe technique de très haut vol qui nous permet justement de parer à toute éventualité et à toute attaque sur Internet.

Par ailleurs, nos vidéos sont stockées sur différents serveurs et clés USB dans différents locaux.

Bref, cette précieuse information est bien gardée. Et nous sommes armés pour la garder sur Internet en permanence, tant qu’Internet reste la technologie de référence.

A ces vidéos s’ajoutent les deux dossiers mentionnés plus haut.

“La révolution vitamine C” pour les traitements à haute dose

Le dossier “La révolution vitamine C” vous donne des informations de fond sur les grands traitements à base de vitamine C existants.

Il s’agit des traitements à haute dose de vitamine C qui doivent être supervisés par un médecin.

Mais ce sont aussi ces traitements qui seraient susceptibles de vous apporter une aide déterminante en cas d’infection virale ou bactérienne.

Sachant naturellement que, dans ce cas, les perfusions de vitamine C à haute dose ne sont pas nécessairement le seul traitement à envisager.

C’est à votre médecin de prendre la décision avec vous.

La vitamine C, sous quelle forme ?

Je vous ai parlé de perfusion de vitamine C.

C’est la forme utilisée par les médecins qui pratiquent ces traitements, comme Ron Hunninghake ou Atsuo Yanagisawa, et bien d’autres.

Mais vous pouvez également prendre de la vitamine C en poudre. Vous pouvez aussi avoir recours à une forme dite “liposomale”.

Cela veut dire que votre vitamine C est encapsulée dans de la graisse. C’est utile parce que cela évite que le système digestif ne détruise la plus grande part de la vitamine C ingérée. L’ennui, c’est que c’est plus cher.

Vous pouvez même la prendre en suppositoire ou via une poire anale !

Vous saurez tout !

Le dossier fait un point complet sur toutes les formes d’utilisation de la vitamine C, des plus avancées au plus simples.

5 idées reçues sur la vitamine C

Ce deuxième dossier a pour vocation de vous expliquer l’intérêt d’une supplémentation régulière sur la vitamine C.

Ce dossier vous aide à repérer les aliments gorgés en vitamine C qui vous permettent de refaire régulièrement vos réserves.

Il faut savoir que notre corps, contrairement à celui de nombreux animaux, comme la chèvre, n’est pas capable de produire de la vitamine C.

Pourtant, comme les animaux, nous en avons besoin pour que notre métabolisme fonctionne bien (vidéo 2).

Savoir en trouver dans la nature ou sous une forme acceptable sur Internet est donc essentiel pour rester en bonne santé le plus longtemps possible.

En revanche, comme vous pourrez le voir dans le dossier, la vitamine C en tube proposée dans les pharmacies ne présente, souvent, qu’un intérêt très limité.

Elle pourrait même être néfaste pour la santé. Et vous découvrirez pourquoi dans ce dossier.

Nous arrivons au bout de ce que je peux vous dire sur la vitamine C !

Le reste appartient aux experts.

Et je ne peux m’exprimer à leur place.

Pour découvrir leurs enseignements et leurs témoignages, allez sur le bouton “continuer” ci-dessous.

Continuer !

Attention, cette offre n’est valable que quelques jours !

Bonne révolution vitamine C !

Naturellement vôtre,

Augustin de Livois


Références :

  1. http://www.cidrap.umn.edu/news-perspective/2016/10/cdc-chief-antibiotic-resistance-scary-threat-modern-medicine
  2. http://www.who.int/mediacentre/news/releases/2016/commitment-antimicrobial-resistance/fr/
  3. http://solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/rapport_antibiotiques.pdf
  4. https://www.inserm.fr/thematiques/immunologie-inflammation-infectiologie-et-microbiologie/dossiers-d-information/resistance-aux-antibiotiques
  5. https://amr-review.org/
    https://france-amerique.com/fr/des-armes-prometteuses-contre-le-staphylocoque-dore-qui-defie-la-medecine/
  6. https://www.pasteur.fr/fr/centre-medical/fiches-maladies/resistance-aux-antibiotiques
  7. https://www.dangersalimentaires.com/2011/04/viande-etats-unis-contaminee-staphylocoque-dore-resistant-antibiotique/
  8. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/
  9. http://etudiant.lefigaro.fr/les-news/actu/detail/article/etudiants-en-medecine-le-desamour-de-la-voie-generaliste-5712/
  10. Thomas E Levy, La panacée originelle, Editions Michel Dumestre, 2016
  11. Idem
  12. Idem
  13. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/28210072
  14. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/27940189
  15. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25994956
  16. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/27481230
  17. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/26898166
    Autres sources :
  18. http://www.antibiotique.eu/deacutefinition–histoire.html
  19. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25543818
  20. Thomas E Levy, La panacée originelle, Editions Michel Dumestre, 2016