Vaccins covid 19 – Alerte prostate !

Par Isabelle Roussouly/10 janvier 2024/ 662 Vues

Chère amie, cher ami,

Une étude récente menée par des chercheurs de Hong Kong montre que les hommes vaccinés contre le covid 19 ou infectés au covid 19 peuvent avoir des complications urinaires ou au niveau de la prostate⁽¹⁾.

Celle-ci confirme des travaux existants sur le sujet⁽²⁾.

L’étude est partie d’une cohorte de patients masculins traités pour des problèmes urinaires classiques⁽¹⁾.

Ces patients pouvaient avoir des infections de la prostate ou de l’urètre⁽¹⁾.

Ils pouvaient souffrir d’incontinence, de rétention urinaire ou avoir du sang dans les urines⁽¹⁾.

En consultant leurs données, les chercheurs ont observé que les patients qui étaient vaccinés ou qui avaient été infectés au covid 19 avaient un risque plus élevé de souffrir d’une hyperplasie bénigne de la prostate (prostate gonflée)^(1,3).

Or, une prostate gonflée augmente le risque de troubles urinaires⁽³⁾.

La prostate attire la Spike

La prostate est une glande de l’appareil génital masculin. Elle est située sous la vessie et en avant du rectum^(3,4).

Elle entoure l’urètre, le canal qui permet d’évacuer l’urine et le sperme^(3,4).

Chez les hommes jeunes, la prostate est de la taille d’une châtaigne. Mais avec les années, son volume augmente^(3,4).

Elle sert essentiellement à stocker le liquide séminal qui est un des constituants du sperme^(3,4).

Les femmes ont des glandes équivalentes qui s’appellent les glandes de Skene qui sont aussi situées près de l’urètre. Ces glandes sont, toutefois, plus petites⁽⁵⁾.

L’une des particularités de la prostate est qu’elle contient de nombreux récepteurs qui peuvent capter le virus SARS CoV 2 et ses protéines Spike⁽⁶⁾.

Dit simplement, la prostate attire le virus et sa protéine Spike⁽⁶⁾.

Qu’il s’agisse des protéines naturelles ou apportées par le vaccin contre le covid 19 importe peu.

Dans les deux cas, elles ont tendance à se concentrer dans la prostate.

Et cela provoque de l’inflammation qui fait grossir la glande et met la pression sur tout le système urinaire^(3,4,6).

Complications urinaires après la vaccination contre le covid 19

Les auteurs de l’étude précisent que de nombreux cas de troubles urinaires ont été rapportés après des infections au covid 19 ou des vaccinations⁽¹⁾.

Ces troubles urinaires sont notamment :

l’incontinence ;
les maladies des voies urinaires inférieures ;
les mictions hésitantes ou fréquentes.

Selon les auteurs de l’étude de Hong Kong, ces troubles sont liés à une inflammation soudaine de la zone uro-génitale liée à une infection au covid 19 ou à une vaccination anticovid 19^(1,6).

Ils estiment que les organes sexuels féminins ou masculins sont sensibles aux attaques du virus en lui-même ou de ses protéines^(1,6).

Inquiétudes par rapport à la protéine Spike

Au-delà de l’étude de Hong Kong, une partie des scientifiques s’interrogent sur le risque lié aux vaccins ARNm pour les organes génitaux⁽⁷⁾.

Ils pensent qu’il existe deux problèmes en particulier :

1/ Les séquences des vaccins à ARNm ont tendance à se diviser une fois qu’elles sont arrivées dans les ovaires ou les testicules^(6,7).

Elles viennent chargées de protéines Spike. Or ces protéines sont inflammatoires.

2/ Les protéines Spike sont persistantes⁽⁸⁾.

Elles s’installent dans le temps et produisent de l’inflammation en continu. Lorsque cela se passe dans la prostate, le risque de troubles urinaires augmente⁽⁹⁾.

Lorsque cela se produit chez des patients qui ont déjà des troubles urinaires, les symptômes ont tendance à augmenter.

L’inconfort, voire parfois le handicap, des patients augmente⁽⁶⁾.

Avec le vaccin contre le covid 19, l’incontinence frappe aussi les jeunes (hommes et femmes)

Certains médecins, comme le Dr Amanda McDonald, psychiatre aux États-Unis, constatent que leurs patients ont des problèmes d’incontinence juste après leur vaccination⁽⁶⁾.

Ces situations arrivent même chez des patients ayant la vingtaine^(2,6) !

L’incontinence est un des effets secondaires du vaccin, mais personne n’en parle^(2,6,10,11).

Cet effet secondaire se produit plus souvent chez les femmes que chez les hommes.

Ce phénomène est d’autant plus choquant que les jeunes ne risquaient pas grand-chose au départ du covid 19.

Aux États-Unis, comme ailleurs, le corps médical refuse parfois de voir la vérité en face.

Le Dr Amanda McDonald a expliqué dans la presse américaine avoir reçu des jeunes femmes incontinentes à la suite de leur vaccination, et envoyées chez le psychiatre parce que leur médecin traitant leur disait que c’était “dans la tête”⁽⁶⁾.

Qu’une seule patiente vienne pour cette raison est une possibilité. Qu’elles viennent en série est plus inquiétant…

Qui veut encore se faire vacciner contre le covid 19 ?

Chaque semaine qui passe voit une nouvelle étude publiée sur tels ou tels effets secondaires inattendus liés aux vaccins ARNm^(1,2).

La presse classique ne relaie pas ces études.

En revanche, un sondage du journal Le Point indique que plus du tiers des sondés avait prévu de se faire vacciner avant les fêtes de fin d’année. Cela représente 2 000 personnes sur 6 000 sondées.

L’intention de ces personnes était sûrement bonne.

Elles voulaient protéger leurs proches.

Auraient-elles toujours été convaincues d’agir de la meilleure manière possible si elles avaient vu les résultats publiés par l’étude de Hong Kong?

Naturellement vôtre,

Augustin de Livois