Vous arrive-t-il de manger des aliments ultra-transformés ?
Chère amie, cher ami,
On dit souvent que les nutritionnistes ne sont pas d’accord entre eux.
L’un pointe du doigt le sucre [1], l’autre les aliments trop gras [2], d’autres encore s’intéressent avant tout à l’index glycémique [3], c’est-à-dire au temps qu’il faut pour que le sucre entre dans votre sang.
On vous dira qu’il faut suivre une diète crétoise d’il y a 50 ans [4] ou que seule la diététique chinoise est valable. [5] On vantera le régime cétogène ou l’alimentation nordique…
Cela rend parfois les choses compliquées pour le grand public.
Y a-t-il des règles universelles en matière de nutrition ?
J’en connais au moins deux.
La première est que chacun est différent. Ce qui est bon pour vous n’est pas forcément bon pour votre voisin. [6]
Les uns digèrent mal les fruits, les autres ne peuvent s’en passer. Au sein d’une même famille, les besoins peuvent être différents.
Vous me direz que cette règle-là ne facilite pas votre tâche. Comment préparer un repas qui puisse être bon pour la santé de chacun des convives ?
La deuxième règle vous conviendra peut-être mieux : évitez les produits ultra-transformés. Ils sont mauvais pour tout le monde !
Qu’est-ce qu’un produit ultra-transformé ?
Pour moi, c’est un produit dénaturé.
Généralement, il est fait à partir d’une céréale de monoculture OGM ou non : blé, maïs, soja, riz, pomme de terre ou pois. [7]
Ces aliments sont standardisés.
Ils ont tous la même forme, le même goût, les mêmes saveurs.
Ils sont chargés en conservateurs, en additifs et en arômes artificiels.
Ils contiennent en général au moins 5 ingrédients et parfois beaucoup plus. [7]
Souvent, il est difficile de savoir quel est le ou les ingrédients de départ pour fabriquer le produit.
En revanche, ils ont des emballages magnifiques et ils sont de toutes les promotions : on vous les vend par lots de deux, trois, dix…
De l’aluminium partout
Les conservateurs les mieux connus sont le sucre, le sel et l’huile. [8]
Le prix du sucre étant très faible et le goût satisfaisant pour le client, les industriels en mettent absolument partout : dans les plats préparés, les charcuteries et bien-sûr la viennoiserie et les biscuits. [9]
Mais il y a d’autres conservateurs, comme l’aluminium.
On le trouve dans de nombreux additifs alimentaires sous forme de métal (E173), de sulfates (E520 à E523), de phosphates (E541) ou de silicates (E 554-555-556-559). [10]
Ces poudres d’aluminium servent de conservateur, d’agent de blanchiment, de levant, ou d’anti-agglomérant. [10]
L’aluminium est un produit extraordinaire pour les industriels !
S’il venait à être interdit, l’industrie agro-alimentaire en serait totalement désorganisée.
Il y a de l’aluminium dans presque tous les produits ultra-transformés.
Mais vous ne le savez pas nécessairement.
Par exemple, la levure industrielle contient de l’aluminium. [10]
Mais, sur de nombreux produits qui contiennent de la levure industrielle, cela n’est pas mentionné.
Le pain de mie blanc, produit toxique s’il en est, contient de l’aluminium.
Sa belle couleur lui vient de l’agent de blanchiment. Merci la sulfate d’alumine !
Or l’aluminium est un puissant neurotoxique qui contribue à provoquer des maladies de civilisation comme Alzheimer.
Les enfants et adolescents, premières victimes des produits ultra-transformés
Les produits ultra-transformés représentent 50% des produits vendus en supermarché ! [11]
Un produit sur deux est ultra-transformé.
Les produits bios, diététiques ou végétariens sont également concernés. [11]
Et les enfants et adolescents en sont les premiers consommateurs.
Par exemple, les laits infantiles sont une catastrophe. Ils sont bourrés d’additifs, notamment d’aluminium. [11]
Les jus de fruits, bonbons, sodas et autres gâteaux industriels dont les enfants se goinfrent lors des anniversaires sont neurotoxiques, hyperglycémiants et cancérigènes. [10,11,12]
Les céréales du petit déjeuner ou le pain de mie industriel sont également concernés. [13]
Ces aliments sont riches en additifs toxiques, en pesticides et en métaux lourds. [14]
Les pizzas, les chips, les biscuits-apéros, les pâtes à tartiner, les yaourts en tous genres, et toute la gamme des plats préparés sont surchargés en sucres, en sel, en aluminium, en graisse trans, en additifs, en arômes artificiels.
Ce sont des produits toxiques.
Ils ne sont pas propres à la consommation.
La seule garantie que l’on vous offre est qu’ils sont sans bactéries.
C’est vrai. Ces produits sont inertes, sans vie.
Vous ne risquez pas, normalement, d’avoir une intoxication alimentaire avec ces produits.
Mais, en les consommant tous les jours, vous êtes à peu près sûrs de développer telle ou telle maladie de civilisation…
Quels sont les coûts de santé liés aux produits ultra-transformés ?
Ces produits représentent aujourd’hui 50% des calories consommées en France. [11]
Pourtant, ces produits ne vous rassasient pas. Ce sont des calories vides.
Ils n’ont ni vitamines, ni minéraux, et très peu de fibres.
Ce sont des sucres rapides aux pesticides et à l’aluminium.
Or, la consommation de ces aliments a tendance à augmenter.
Et la courbe de l’obésité suit assez fidèlement la courbe de consommation de ces aliments. [11]
Ainsi, une étude de 2018 a démontré que l’augmentation de 10% de ces produits avait provoqué 12% d’obésité en plus. [15]
Deux ans plus tard, le covid arrive.
Et ceux que vous retrouvez dans les services de réanimation sont notamment les obèses…
Qui est responsable de cette situation ? Le gouvernement ? Les industriels ? Les publicitaires ? Les patients ? Les médecins ? Un peu tout le monde ?
Qu’importe. Il faut que cela change.
Car le coût total pour la santé des Français de ces produits ultra-transformés est potentiellement considérable, même si, à ma connaissance, il n’a pas été évalué.
Le bio réduit les risque de cancer de 25%
On sait toutefois que le risque de développer un cancer est 25% plus faible chez les personnes qui consomment du bio que chez les autres. [16]
Ces personnes font sans doute plus attention aux produits qu’elles consomment.
Tant mieux pour elles !
Car 25% de risque en moins, ce n’est pas un détail.
Aujourd’hui, le gouvernement se focalise sur le covid 19, ses vaccins et les non vaccinés.
Mais les vrais problèmes de santé sont ailleurs.
- L’obésité touche 17% des Français. Et un Français sur deux est en surpoids ; [17]
- Le cancer du sein touche 1 femme sur 9 en France ; [18]
- Il y a près de 4,5 millions de diabétiques dans notre pays ; [19]
- Alzheimer touche 1,2 millions de personnes et pourrait concerner 2,2 millions de personnes en 2050. [20]
Rien n’est fait pour prévenir ces maladies, ou si peu…
La seule chose qui compte pour votre santé et votre citoyenneté, c’est que vous soyez vacciné contre le covid 19…
3 idées pour éviter les produits ultra-transformés…
J’essaye, pour ma part, de suivre une règle simple : ne consommer que des produits qui existaient déjà il y a 1000 ans !
Je fais une exception pour le café que les Européens ne connaissaient pas au temps des premiers donjons en pierre…
Pour ne pas tomber dans le piège des produits ultra-transformés, vous pouvez également :
- éviter d’aller au supermarché
En faisant vos courses au marché, vous êtes sûr de choisir les stands où vous voulez aller.
Cela vous évite de craquer pour telle ou telle promo du moment et cela vous permet de ne pas prendre plus de choses que ce que vous pouvez portez.
C’est aussi une bonne manière de consommer des produits frais tous les jours.
- cuisiner
Cela vous demande nécessairement un peu de temps et d’effort.
Et il est vrai que tout le monde n’aime pas faire la cuisine.
Toutefois, le temps que vous passez à concocter vos propres plats vous évitera peut-être telle ou telle maladie de civilisation. Cela en vaut la peine !
Prenez soin de vous. N’oubliez pas que vous êtes un être unique et exceptionnel !
Naturellement vôtre,
Augustin de Livois
Non je n’achète rien dans les supers marché, j’ai un grand jardin, des poules, des animaux divers qui sont nourris de ma propre production de céréales sans pesticides, même les pâtes sont fait maison, la viande de mon élevage, porc , veau etc tout comme le Beurre fait maison tous les 2 jours
Même le Bio acheter dans les grandes surface n’est pas 100% bio puisque la loi Française autorise de mélanger 6% de non Bio
Cuisiner: je cuisine est je prend mon temps de faire une nourriture saine sans pesticide, ni conservateur E
Toute les maladies qu’ont connais de nos jours sont coupable comme le cancer, maladies cardiaque, rénal, AVC,
digestif, hypertension, hypotension etc provienne toutes de la mal bouffe industrielle
Depuis plus de 50 ans le corps humain et empoisonner par des centaines de médicament antibiotiques qui ont détruit le système immunitaire qui ne peut plus se défendre les cas d’une agression extérieur, comme la grippe, Covid, bronchite ainsi que toute les maladie respiratoire
Le Covid, la Maladie de Lyme, ont peu la guérir avec de l’artémisia annua, huiles essentielle de cannelle de Ceylan
de thym vulgaire à Thujanol , origan compact, cette maladie de Lyme est guéri en 2 mois
Bonjour,
Vous ne devriez pas parler de « yaourts en tous genres » de manière aussi …légère, et tout mélanger à votre convenance! vous verrez à l’avant dernier paragraphe, ce avec quoi il ne faut pas confondre le yaourt.
Le yaourt est loin d’être un produit ultra transformé, en fait il n’y a guère plus simple qu’un yaourt nature. Il serait judicieux de votre part d’utiliser le bon vocabulaire.
Pour faire simple et pour votre information , voici quelques paragraphes copiés-collés tirés de Wikipédia: https://fr.wikipedia.org/wiki/Yaourt
Le yaourt, yogourt ou yoghourt est un lait fermenté par le développement des seules bactéries lactiques thermophiles Lactobacillus delbrueckii subsp. bulgaricus et Streptococcus thermophilus qui doivent être ensemencées simultanément et se trouver vivantes dans le produit fini. C’est la définition officielle française depuis 1963 précisée par le décret de 1988.
Dans la seconde moitié du XXe siècle, lorsque les yaourts sont devenus des produits de grande consommation vendus sur un marché de plus en plus large, le besoin s’est fait sentir de savoir à quoi référait de manière précise et constante l’étiquette « yaourt ».
Si en France, pour avoir droit à l’appellation de yaourt, le produit doit être ensemencé avec les bactéries lactiques, Lactobacillus delbrueckii subsp. bulgaricus et Streptococcus thermophilus, qui doivent se retrouver vivantes dans le produit consommé, la réglementation prévoit toutefois que le yaourt peut aussi contenir des morceaux de fruits, du sucre, du miel, des arômes… à raison de moins de 30 % du produit final.
Les produits laitiers contenant des additifs (colorants), des agents de texture (émulsifiants, stabilisants, épaississants ou gélifiants (amidon, pectine, gélatine)), ou ayant subi un traitement thermique après la fermentation, tuant les bactéries lactiques, n’ont plus droit à l’appellation « yaourt ». Ce sont les « laits fermentés aromatisés », « boissons à base de lait fermenté », et « laits fermentés ayant subi un traitement thermique après fermentation » et « boissons à base de lait fermenté ayant subi un traitement après fermentation ».
Le yaourt est un produit vivant très différent des produits traités thermiquement (étuvés ou pasteurisés) dont on allonge la durée de conservation en inactivant leur flore bactérienne. L’intérêt d’avoir un produit vivant tient au fait que les cultures vivantes améliorent la digestion du lactose chez les individus ayant des difficultés à les digérer en plus de l’effet barrière limitant le développement de germes potentiellement délétère.
Cordialement,
Catherine Perré
Bonsoir ! c’est honteux de lire tout cela ! ils nous empoisonnent, comme l’industrie pharmaceutique ! honte a ceux qui nous gouvernent depuis tous les temps ! faite quelque chose !