Décision du Conseil d’Etat du 6 mai 2019 : le mot de Maître Bergel

Chère amie, cher ami, 

Je vous transmets aujourd’hui un message de Maître Jacqueline Bergel à l’issue de la décision rendue par le Conseil d’Etat du 6 mai dernier. 

Je vous rappelle que la haute cour administrative a décidé de rejeter notre requête demandant à la Ministre de la santé, le retrait de l’aluminium dans les vaccins obligatoires. 

Pour Maître Bergel, il faut poursuivre le combat, y compris auprès des institutions. 

Peut-être pensez-vous que ces dernières sont trop corrompues pour que cela en vaille la peine. C’est un sentiment qui s’est répandu ces dernières années.

Et le comportement de certains hauts responsables politiques ou administratifs semble aller dans ce sens. 

J’y reviendrai dans une prochaine lettre. C’est un élément important. 

Dîtes-vous que derrière les robes de magistrats, derrière les blouses de médecins ou de chercheurs, derrière le costume trois pièces des patrons de laboratoire, il y a un cœur qui bat. 

Ces gens-là ont des enfants, des familles. C’est le cas d’une partie d’entre eux en tout cas. 

C’est donc aussi à nous de les aider à changer. Cela demande de la patience et de la persévérance, même si, bien sûr, je comprends que, chez certaines victimes de l’aluminium, la réaction première soit la colère, quand ce n’est pas le dépit ou la tristesse. 

Rappelez-vous du temps qu’il a fallu pour faire changer les autorités sur l’amiante. Il risque d’en être de même avec l’aluminium. 

Continuer à agir auprès des institutions, c’est maintenir un dialogue qui prépare un revirement. 

Celui-ci viendra nécessairement. 

La question centrale est : “dans combien de temps ? ”. 

Vous trouverez ci-dessous les réflexions de Maître Jacqueline Bergel-Hatchuel. 

Bonne lecture 
Augustin de Livois 
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Bonjour à tous. 

Par cette décision rendue le 6 mai 2019, le Conseil d’État a cru devoir rejeter la demande du retrait de l’aluminium dans les vaccins. 

Ce n’est pas faute de lui avoir adressé toutes les preuves et les découvertes récentes qui ont été faites sur la toxicité de l’aluminium à l’échelle internationale. 

L’aluminium est un métal bio persistant qui ne s’élimine pas dans le sang et qui quelquefois remonte au cerveau et peut faire de sérieux dégâts ! 

Il a été supprimé dans les vaccins pour les animaux et dans les produits cosmétiques. 

Ce n’est un secret pour personne qu’il est nocif voire toxique. 

La requête présentée au nom de 3500 personnes devant le Conseil d’État consistait simplement à demander de remettre comme booster, l’adjuvant phosphate de calcium tel qu’il était fabriqué par l’institut Pasteur avant 1985.

Déjà à cette date, les chercheurs de l’Institut Pasteur avaient lancé l’alerte lorsqu’ils ont appris que le laboratoire Mérieux avait décidé de réduire ses coûts en renonçant au phosphate de calcium au profit de son adjuvant « maison » l’hydroxyde d’aluminium. 

Le Conseil d’État s’est fondé sur des études qui datent de 2013 pour rendre sa décision. Mais nous sommes en 2019. Ces études sont « obsolètes et non réalisées scientifiquement » selon les propres écrits du professeur Romain Gherardi. 

Le Conseil d’État n’a pas voulu tenir compte de toutes les recherches, études et découvertes qui ont été faites dans le monde entier et qui démontrent : la toxicité de l’aluminium. 

La décision vous a déjà été partagée. Vous pouvez néanmoins la retrouver ici. 

Au paragraphe 11 de la page 5, le conseil d’État tend une perche pour continuer le combat. Voici ce qu’il dit : 

« Qu’il appartient, en tout état de cause, au ministre de la santé chargé par la loi d’élaborer la politique de vaccination, de veiller dans un objectif de protection de la santé publique, au maintien d’un haut degré d’expertise publique et à la poursuite des recherches études susceptibles d’améliorer la connaissance de la cinétique et des effets des adjuvants aluminiques ainsi que des possibilités de recours à d’autres adjuvants »


Autrement dit, il laisse entendre que la ministre devrait solliciter et programmer ces études pour éclairer la connaissance sur la cinétique et les effets de l’aluminium. 

Le Conseil d’Etat reconnaît ainsi :

  • qu’il y a un vide scientifique sur ce point ; 
  • que la vaccination avec l’aluminium n’est pas sans danger ; 
  • et que seules des études : « d’un haut degré d’expertise publique et la poursuite des recherches » permettraient d’améliorer la connaissance…. 

On peut donc en conclure qu’une bataille est perdue mais pas la guerre. 

Nous reviendrons vers vous très prochainement pour vous faire connaître la décision qui est prise en ce sens pour continuer le combat. 

Encore une fois, je vous remercie pour votre confiance, vos encouragements et votre détermination. 

La vérité doit triompher, il en va de la santé de nos enfants. 

Recevez mes meilleurs sentiments. 

Maître Jacqueline Bergel-Hatchuel

 


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