Grâce à vous, cette année sera très prolifique…

Par ipsn/23 février 2017/ 1486 Vues

Chère amie, cher ami,

Vous avez trouvé 2016 riche en actions et événements ?
Vous verrez : 2017 sera prolifique !

Nous n’avons pas le choix : les temps sont mûrs pour l’action !

D’abord parce qu’en France ont lieu les élections présidentielles. C’est un temps de débats et de propositions. Même si les échanges entre responsables politiques paraissent creux ou « à côté » des grands enjeux qui nous concernent, c’est évidemment le moment pour nous de faire circuler des idées, des propositions…Bref, de prendre part au grand pugilat qui se prépare !

Ensuite, parce que les lignes bougent ! Il faut encourager les évolutions actuelles de la santé naturelle. Elles sont scientifiques, juridiques, politiques et institutionnelles.

La science en effervescence

Partout dans le monde, de nouveaux sujets de recherche apparaissent. Physiciens et biologistes publient régulièrement des travaux qui bouleversent nos façons de comprendre le monde :

Photons : les progrès dans le domaine de l’imagerie permettent de voir comment les photons circulent. (Voir sur le sujet les travaux remarquables des chercheurs Raymond Herren et George Vieilledent). L’information photonique donne de précieuses indications sur les réactions du vivant par rapport à d’autres produits, comme des molécules de synthèse par exemple ou d’autres corps vivants.

Les champs d’application dans le domaine de la santé sont multiples : évaluation de l’efficacité des médicaments, du degré de toxicité d’un produit, etc. Cette recherche donne un accès direct à ce qui se passe dans le monde vivant à un niveau minuscule (inaccessible à l’œil nu, de l’ordre du milliardième de mètre).

Jeûne et cancer : depuis quelques années, le Pr Valter Longo, gérontologue et biologiste aux Etats-Unis, travaille sur le jeûne sur des souris. Il a démontré que, chez ces petits animaux, le jeûne renforçait le système immunitaire et permettait de résister aux chimiothérapies. Des études sont en cours pour confirmer cette possibilité chez l’humain.

En attendant, la thérapie par le jeûne a de beaux jours devant elle. On la croyait oubliée et mise au placard avec les vieux rites religieux qui l’accompagnaient. Voilà que la science et les bons résultats obtenus en Allemagne ou en Russie la remettent au goût du jour !

Bactéries : elles jouent un rôle fondamental dans nos vies et nos maux. Le Pr Luc Montagnier a déjà posé l’hypothèse d’un lien entre bactéries et autisme. C’est maintenant au tour d’une équipe de l’université John Hopkins de proposer la piste bactérienne pour expliquer la survenue de la polyarthrite rhumatoïde (1) ! Là encore, c’est une révolution. Dès lors que les antibiotiques perdent en force et, surtout, que leur prise trop régulière risque de créer des dégâts considérables à d’autres bactéries de notre corps (dont nous avons besoin), il faudra développer des stratégies thérapeutiques plus fines : renforcer le terrain, prendre des antibactériens naturels moins corrosifs (huiles essentielles, notamment), voire retourner aux traitements oubliés comme les phages !

Nanoparticules : c’est le sujet d’aujourd’hui. Elles sont partout, même dans les vaccins ! Le Pr Montanari (2), chercheur italien, et son équipe ont analysé des lots de vaccins (DTP, Gardasil, Prévenar, etc.).

Dans ces vaccins, ils ont retrouvé des nanoparticules d’aluminium, de tungstène, de fer, de chrome, de titane et de manganèse.

Cela veut dire qu’il est probable que la plupart des vaccins injectés contiennent ces nanoparticules.

L’une des explications possibles à cette découverte est que les aiguilles sont aiguisées avant usage par des machines constituées notamment de tungstène dont les particules de métal passeraient, à ce moment-là, dans les doses de vaccin.

Un seul vaccin « propre » a été identifié dans l’étude. Il était à destination de la médecine vétérinaire.

Plus généralement, la question des nanoparticules devrait revenir régulièrement sur le devant de la scène tant les enjeux de santé liés à ces micro-morceaux de matière non assimilables et non biodisponibles sont cruciaux pour la santé.

Les médecines non conventionnelles reconnues dans différents pays…

La Suisse : voilà presque 10 ans que la Suisse a reconnu constitutionnellement le droit d’avoir recours aux médecines non conventionnelles. Comment cela est-il arrivé ? Il y a eu une votation. Les citoyens ont voté pour. Leur volonté est respectée. Le bilan de cette opération est positif. Une nouvelle votation sur le sujet rencontrerait un succès encore plus massif.

Le Canada : depuis 2004, une législation sur les produits naturels a permis l’essor d’un secteur associé. Résultat : il est possible d’y être herboriste et de nombreux produits naturels sont officiellement vendus et conseillés par des professionnels compétents. Cela fait presque 15 ans que l’expérience dure et toute la population semble y trouver son compte. De quoi inspirer les pays Européens ?

Allemagne : de nombreuses pratiques alternatives y sont reconnues et remboursées par les organismes d’assurance privés. Ainsi, la phytothérapie, le jeûne (3), la chiropraxie sont présents dans les hôpitaux et acceptés par les médecins. Les patients les plébiscitent massivement. Par ailleurs, il existe depuis longtemps un statut pour les naturopathes, celui de « heilpratiker » dont le travail s’inscrit dans la longue lignée des hygiénistes qui travaillent avant tout sur le terrain des malades.

Evolution des hôpitaux et universités

Un peu partout – même en France ! – les hôpitaux s’adaptent. De plus en plus, ils intègrent différentes médecines alternatives et complémentaires que l’on considérait, il y a encore quelques années, comme totalement déviantes.
Hypnose à l’hôpital de Saint Denis (93), jeûne à l’hôpital Avicennes (93), acupuncture à Charleville Mézières ou la Pitié Salpêtrière, nutrition à Clermont-Ferrand ou La Timone à Marseille, etc.

Ce sont souvent des entrées discrètes parfois sujettes à débat entre les services et les médecins, mais indubitablement la santé naturelle gagne du terrain à l’hôpital. Tant mieux pour les patients, tant mieux pour les médecins. En médecine, le plus important reste de donner au patient le meilleur soin possible.

Les universités suivent le même mouvement. Ici et là sont créés des DU de phytothérapie, de nutrition et d’acupuncture.

Ces évolutions sont positives et nous pouvons légitimement nous en réjouir. Il est bon aussi de savoir regarder ce qui, dans notre société, peut être source de joie ou de sérénité.

Malheureusement, les blocages persistent dans bien des domaines et nous rappellent que, si certaines évolutions ont eu lieu, c’est d’abord et avant tout parce que des personnes se sont courageusement battues sur le terrain pour aller chercher ces gains.

Les sujets qui fâchent

Il est évident qu’en Occident certains tabous médicaux persistent :

Demander à son médecin s’il est possible d’envisager une stratégie vaccinale réfléchie pour son enfant est considérée comme un acte d’agression par de nombreux médecins !
Poser la question de l’usage intelligent des médicaments n’est jamais simple non plus. Faut-il prendre des statines et réduire son taux de cholestérol alors qu’un nombre grandissant de médecins et de scientifiques estiment que la réduction des maladies cardiovasculaires viendra d’abord d’un changement de mode de vie et que le cholestérol n’est pas directement responsable des maladies cardiaques ? (Cf. Les travaux du Dr Michel de Lorgeril ou les positions du Pr Even).
L’électrosensibilité n’est toujours pas reconnue en dépit du remarquable travail de terrain effectué par de nombreuses associations comme les Robins des Toits.
Les risques pour la santé des métaux lourds présents un peu partout à commencer par les amalgames dentaires ne sont absolument pas pris en compte aujourd’hui.
La problématique environnementale au sens large reste traitée de manière tout à fait anecdotique par les autorités qui ne s’intéressent ni à la pollution de l’eau, ni à celle de l’air ou à la perte de fertilité des sols. Plus que jamais l’expertise des toxicologues nous est nécessaire pour affiner l’analyse des problèmes environnementaux auxquels nous sommes confrontés et trouver les solutions pour y remédier. En dépend partiellement la résolution des pathologies respiratoires, des problèmes de peaux, les maladies auto-immunes, la fertilité, etc.
En matière de nutrition, malgré certaines avancées, l’industrie agro-alimentaire garde la main sur les débats : officiellement, le lait est toujours bon pour la santé, l’élevage moderne ne pose pas de problème particulier et l’agriculture bio n’est pas une priorité…
A l’hôpital, dont nous parlions un peu plus haut, les infections et les accidents sont toujours aussi nombreux. Aucune réflexion d’envergure n’est proposée pour améliorer la situation dangereuse pour les patients et pénible pour les soignants.
Parlons de ces derniers ! Leur rôle est fondamental. Où en est-on de la santé des soignants ? Aujourd’hui, ils sont la variable d’ajustement des gouvernements successifs. A quand un suivi régulier des soignants pour qu’ils soient au meilleur de leur forme pour accompagner les patients ? Leur nutrition est-elle prise en compte ? A-t-on mis des jardins dans les hôpitaux avec des carrés des simples pour alimenter les tisanes des pauses ? Leur donne-t-on accès à des séances de sophrologie ou autres techniques de relaxation pour qu’ils soient parfaitement concentrés sur leur mission de soin et non sur telles ou telles contingences matérielles sur lesquelles ils n’ont aucune prise ?

Vous le voyez, les défis ne manquent pas ! Et encore, cette liste est par nature limitative…

Rester vigilant !

Afin de continuer à mettre la pression sur les autorités sur ces différents sujets, ainsi que nous l’avons fait dans le cadre de l’affaire DTP, il nous faut une vigilance de tous les instants.
Nous devons continuer à lancer des pétitions, faire circuler l’information et faire remonter du terrain toutes les anomalies qui s’y déroulent.
N’hésitez jamais à nous dire ce que vous voyez et que les médias ne relaient pas. C’est ainsi que nous avons su qu’il existait une pénurie de vaccin DTP et que nous avons découvert le pot aux roses des vaccins multivalents.

En 2017, comme en 2016, nous avons besoin de vous, de vos avis, de votre énergie, de votre soutien.

Résister…

Il n’y a pas de secret, l’étape d’après vous la connaissez ! Nous devons résister.

Les herboristes qui ont maintenu leur tradition et leur métier envers et contre tout le savent bien.
Il faut savoir :

Persévérer à exercer les métiers interdits ou méprisés. Pour cela, il faut provisionner et se préparer à vivre des procès,
Jouer sur les ambiguïtés des lois quand cela est nécessaire,
Défendre nos médecins et thérapeutes lorsqu’ils sont attaqués,
Constituer des réseaux de patients capables de s’organiser pour demander des comptes aux autorités
Transmettre les savoirs : si une personne dispose d’un savoir naturel précieux, il est indispensable de le faire découvrir et comprendre à d’autres chercheurs et thérapeutes. D’une part, ces derniers pourront compléter ces travaux. D’autre part, ce savoir ne risque pas d’être perdu avec la personne si il lui arrivait une tragédie ce qui est toujours possible malgré tout ! Il faut multiplier les écoles, les projets de recherche, les enseignements universitaires ou non.

Cela nous demande également d’être plus exigeants avec nous-mêmes. Afin de permettre à la santé naturelle d’évoluer favorablement, nous devons toujours tout mettre en œuvre pour confronter les idées des uns et des autres, les renforcer par un travail en réseau, faire circuler l’information et faire connaître les travaux des équipes scientifiques dans différents pays.

Autant que possible, la santé naturelle doit s’appuyer sur des données scientifiques, des études reconductibles et des chercheurs confirmés et reconnus par leur pairs.

Cela n’exclut pas d’intégrer dans le champ de nos discussions les résultats cliniques en attendant de les voir confirmés par des études lorsque les moyens sont réunis pour pouvoir les conduire.

C’est ce qui s’est passé par exemple pour le microbiote et les pathologies neuro-digestives comme l’autisme.

Pendant des années, des médecins comme le Dr Natasha Campbell ont expliqué qu’il y avait un lien certain, visible chez de nombreux patients, entre autisme et troubles digestifs.
Persuadée qu’en travaillant sur le microbiote, on soignait l’autisme, elle a mis en place le régime GAPS que l’on sait aujourd’hui soulager les souffrances et améliorer l’état de nombreux enfants.

Pour autant, il a fallu attendre ces dernières années pour voir des études confirmer cette hypothèse de travail née de l’observation des patients.

La vérité est que s’il faut que soient menées des études randomisées en double aveugle dans tous les domaines avant de soigner les patients, il n’y a aucune chance que la médecine progresse.
Merci donc aux pionniers de la santé naturelle pour leur capacité à observer le terrain et à innover en fonction de leurs analyses !

Enfin, la circulation des connaissances est précieuse. Lorsque les recherches des uns sont confirmées par celles des autres, il est évidemment plus facile de convaincre une majorité de patients. C’est ce qui s’est passé pour le jeûne. En Allemagne, aux Etats-Unis et en Russie, différentes équipes ont trouvé des résultats convergents. Le jeûne serait utile à l’accompagnement des maladies inflammatoires comme les rhumatismes ou l’arthrose. Cela mérite d’être partagé, non ?
L’Institut pour la Protection de la Santé Naturelle (IPSN) se bat sur tous ces fronts. Par nos actions, nous soutenons la recherche indépendante et défendons tous les médecins et chercheurs injustement attaqués par les autorités.
Nous le faisons en créant ou en favorisant les réseaux indépendants d’experts ou de thérapeutes. Par exemple, nous soutenons pleinement :

Les herboristes et les institutions dont ils se sont dotés : Fédération des Ecoles d’Herboristerie, Congrès des Herboristes (8 et 9 avril à Angers en 2017), Syndicat des métiers de l’herboristerie (Synaplante).
Les ostéopathes et leurs différents mouvements (Europromostéo).
Les naturopathes et les initiatives comme celle de l’OMNES.
L’AIMSIB autour du Dr de Lorgeril ou l’association Famille Santé Prévention du Pr Joyeux, et bien d’autres encore ;
Bioconsomacteurs et le travail fantastique de terrain réalisé par Bernard Astruc,
De nombreux événements qui se déroulent toute l’année en francophonie. Nous ne sommes pas toujours organisateurs mais nous relayons l’information, aidons là où cela est nécessaire de nombreuses initiatives pour que vive la santé naturelle !

Enfin, nous sommes présents sur le terrain. Voici donc le programme d’action de l’IPSN, que je vous propose pour l’année 2017 :

Spécial élections !

Afin d’aiguiller les candidats à la présidentielle, nous avons commencé à travailler sur un dossier complet analysant leurs propositions en matière de santé qui devrait être achevé fin mars.
D’ores et déjà, nous sommes en train de recueillir minutieusement toutes les informations sur les engagements des candidats en matière de santé.
A la suite de ce travail d’analyse et en écho aux positions adoptées par les candidats, nous formulerons une liste de 8 à 10 propositions pour la santé des français que nous leur soumettrons.
En tête de celles-ci, il y aura :

La reconnaissance officielle de l’herboristerie
Le renforcement de la liberté thérapeutique
La sûreté des vaccins
La mise en place d’une vraie politique de prévention
Le renforcement de l’agriculture biologique : création de zones bio sanctuaires, évolutions des certificats, etc.

Afin de les convaincre de la nécessité d’adopter des mesures allant dans le sens de nos propositions, nous les rencontrerons. Nous recueillerons alors leurs réactions et vous en ferons part.
Jusqu’au bout, nous les encouragerons à se positionner courageusement sur les sujets qui nous intéressent.
Le premier objectif général est simple : faire entrer les médecines non conventionnelles dans le débat politique.

Déjà, notre action auprès de la Ministre de la Santé, Marisol Touraine, nous a permis de remettre sur le tapis (institutionnel et médiatique) la question du DTP et le respect des lois par l’exécutif en matière de santé.
Ensuite – surtout si la première étape a fonctionné – il s’agira de s’assurer que le candidat ayant remporté l’élection et sa majorité honorent les engagements qu’ils auront pris publiquement.
Dans le domaine de la santé naturelle, nous serons leur mémoire, leur pense-bête, leur poil à gratter.

Nous sommes prêts désormais pour continuer à jouer notre rôle d’empêcheur de tourner en rond et de lanceur d’alerte !

Le dossier Arthrose pour tous

Ainsi que je m’y suis engagé auprès de vous dans le cadre de notre campagne pour défendre le remboursement des traitements naturels contre l’arthrose (injection d’acide hyaluronique), nous allons faire de l’arthrose un sujet phare pour l’année 2017.
Vous avez été près de 130 000 à signer notre pétition sur le sujet. Des millions de personnes en France, au Québec, en Suisse et en Belgique et dans le reste du monde sont touchées par cette maladie qui peut s’avérer extrêmement invalidante.
Nous avons décidé de travailler pour vous.
D’ores et déjà, nous avons prévu une grande conférence sur l’arthrose lors de notre Congrès International de Santé Naturelle.
Mais nous irons beaucoup plus loin. Nous préparons un dossier complet sur la maladie où seront recensés tous les traitements naturels efficaces. Nous mettrons ce travail à la disposition de tous gratuitement.

Les événements de l’année

3e Congrès International de Santé Naturelle

Pour la 3e année consécutive, nous organiserons le Congrès International de Santé Naturelle au Parc Floral de Paris.

Comme lors des précédentes éditions, nous vous préparons un programme de qualité à la fois riche, varié et ouvert et espérons que vous serez aussi nombreux à venir et apprécier le programme que nous vous préparons.
Le programme sera dévoilé dans le courant du mois de mars et les inscriptions seront ouvertes au même moment.
Le congrès aura lieu les 30 septembre et 1er octobre 2017.

St-Malo : Respirez la santé !

Les 13 et 14 mai nous organisons un congrès au quai St-Malo sur le thème : Respirez la santé !

L’objectif de cet événement est de vous proposer un temps d’apprentissage et de découverte de thématiques essentielles pour bien vivre au quotidien, le tout dans un décor de rêve et une ambiance particulièrement détendue.
Le site est absolument exceptionnel et les intervenants de grande qualité. Seront présents : le Dr Michel Angles, le Dr Michel de Lorgeril, le Dr Olivier Soulier, Anthony Berthou et bien d’autres encore. Thématiques au programme : nutrition, activité physique, sens des maladies, sophrologie, relaxation et médecine chinoise.
Le programme sera disponible dans quelques jours. Les inscriptions ouvrent la semaine prochaine.

Soigner son ventre à Bordeaux

Toujours au bord de la mer, mais plus au sud, c’est en Gironde que nous vous donnons rendez-vous le 11 novembre 2017 pour un congrès spécial sur le ventre. Seront présents de nombreux thérapeutes et experts qui vous parleront d’abondance de ce qu’il est convenu d’appeler aujourd’hui notre « deuxième cerveau ».

Les journées du Microbiote

En Belgique, à Louvain-la-Neuve, nous proposons trois journées sur le Microbiote dont la première a eu lieu le 11 février 2017.
Les deux suivantes auront lieu le 6 mai 2017 et le 21 octobre 2017. Les premiers retours que nous avons eus sur ces journées sont très enthousiastes. Après avoir découvert comment fonctionne l’intestin et comment il interagit avec le cerveau, nous verrons comment il fonctionne avec le corps en général et les liens qui existent entre un microbiote sain et la qualité de l’environnement qui nous entoure.

Les Rencontres de l’IPSN

Enfin, nous vous avons concocté (le plus souvent à Paris), un programme de conférences mensuelles sur la santé naturelle que vous retrouverez ci-dessous :

Rencontre du 19 Janvier 2017 : « Une année de bonne humeur et d’optimisme », Pr Michel Lejoyeux
Rencontre du 23 Février 2017 : « Bien dormir sans médicaments », Clémence Peix Lavallée
Rencontre du 16 Mars 2017 : « Les bienfaits du jeûne », Thomas Uhl
Rencontre du 20 Avril 2017 : « Se soigner au quotidien avec les produits de la ruche », Nicolas Cardinault
Rencontre du 18 Mai 2017 : « Soins dentaires holistiques: une clé pour votre santé », Dr Catherine Rossi
Rencontre du 22 juin 2017 : « La santé autrement : l’homéopathie pour tous », Dr Antoine Demonceaux
Rencontre du 6 juillet 2017 : « Du bon usage des huiles essentielles : de la production à leur utilisation pour se soigner », Florence Huvet
Rencontre du 21 septembre 2017 : « Alimentation, intoxication, émotions : des clés pour agir efficacement contre la fibromyalgie et les maladies auto-immunes », Dr Michel Lallement
Rencontre d’Octobre 2017 : « Préserver et renforcer les ressources de son cerveau pour vivre mieux, plus longtemps et plus heureux » (A confirmer)
Rencontre de Novembre 2017 : « Que faut-il réellement manger ? » (A confirmer)
Rencontre de Décembre 2017 : « Les bactéries nous veulent du bien » (A confirmer)

Et ce n’est pas tout !

Parce que notre engagement est total et que nous avons toujours grand plaisir à vous rencontrer, nous participerons à de nombreux événements que nous soutenons par ailleurs :

4 et 5 mars : Séminaire du Dr Michel Lallement à Antibes sur la fybromyalgie
10 au 12 mars : Académies de Santé Naturelle à Aix les Bains organisées par l’Office de Tourisme de la ville
18 et 19 mars : Congrès de Psychologie Energétique à Lyon
1er avril : Congrès « Médecine de demain » à Montpellier
8 et 9 avril : Congrès des Herboristes organisé par l’Association pour le Renouveau de l’Herboristerie (ARH) à Angers

Aidez-nous à poursuivre nos combats !

Nous souhaitons vous proposer de nous accompagner dans tous nos projets. Pour cela, vous avez la possibilité d’effectuer un don.
Si vous souhaitez soutenir nos campagnes, la rédaction de nos dossiers, notre travail auprès des institutions ou des médecins et thérapeutes à défendre, c’est possible.
Même pour l’organisation des événements, vos dons peuvent être extrêmement utiles. Ils nous permettent de réserver à l’avance des lieux prisés ou exigeants, ou encore de mieux anticiper les contingences de dernière minute qui peuvent peser sur l’organisation de ces manifestations.
Pour nous aider dans tous ces projets, vous n’êtes pas obligés de casser votre tirelire.
Nous nous sommes organisés pour vous donner la possibilité de nous faire un don mensuel selon ce qui vous paraîtra le plus juste.
Sachez néanmoins qu’en effectuant un don de 15€ par exemple tous les mois, vous assurerez à notre action une pérennité, redoutable pour les institutions.
Pour faire un don et nous soutenir dans ce combat, rendez-vous ici.

D’autre part, pour les personnes payant leurs impôts en France, sachez que chacun de vos dons fait en faveur de l’IPSN est déductible de vos impôts.
Ainsi, si vous décidez de nous donner 100€, vous ne paierez en réalité que 33€.
Une vraie affaire n’est-ce pas ?
Dans tous les cas, c’est aussi l’occasion pour nous de vous remercier pour votre soutien sans faille, pour tous les messages d’encouragement que vous nous envoyez au quotidien et pour vos mots, souvent si chaleureux, que vous nous faites parvenir et que nous avons pu échanger lors de nos divers événements.
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“ Bravo pour votre détermination et l’éveil des consciences ! ”

Dominique D.
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“ Mille fois BRAVO !!!!!!
Je vous soutiendrai toujours, merci d’être là pour notre cause commune, notre santé.”

France B.
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“ Mes félicitations pour vos actions et votre ténacité ! ”
Jean L.

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Merci pour tout et à très vite.

Naturellement vôtre,

Augustin de Livois
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Sources :