Ivermectine, le débat sans fin (et pour cause !)

Ivermectine, le débat sans fin (et pour cause !)

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Avant toute chose, permettez-moi de vous rappeler que les inscriptions pour notre Université du ventre des 8 et 9 juin prochains sont ouvertes.

Nous avons ajouté la possibilité pour ceux qui viennent sur place de venir avec un proche ou un collègue.

Pour une place achetée, vous aurez ainsi une place offerte, ce qui réduit considérablement le frais d’inscriptions si vous les partagez entre vous.

J’ai choisi de proposer cela pour permettre à un maximum de personnes d’accéder aux médecins exceptionnels que nous avons réunis.

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L’étude PRINCIPLE a été publiée

Le 29 février dernier, une nouvelle étude menée au sein de l’Université d’Oxford au Royaume-Uni, est venue confirmer les bienfaits de l’ivermectine contre le covid 19(1,2).

L’étude porte sur un groupe conséquent de patients âgés de 18 à 65 ans, dont :

  • 2157 ont été traités avec de l’ivermectine ;
  • et 3256 ont reçu le traitement classique sans ivermectine.

Au départ, 11 000 patients avaient été sélectionnés en tout, mais près de la moitié d’entre eux ont été écartés de l’étude pour éviter différents biais.

L’âge moyen des patients était de 53 ans.

Les soins ont été administrés entre le 23 juin 2021 et le 1er juillet 2022 au Royaume-Uni. Les données ont été réunies sur une plateforme informatique spécifique appelée PRINCIPLE qui a donné son nom à l’étude(1,2).

Une introduction honnête…

Dans leur introduction, les chercheurs rappellent que l’ivermectine est un médicament antiparasitaire qui ne coûte pas grand-chose et est globalement très bien toléré par la plupart des patients(1).

Ils précisent que cette molécule a été testée à de très nombreuses reprises contre le covid 19.

Ils ajoutent qu’il existe différents mécanismes grâce auxquels cette molécule pourrait agir contre le SARS-CoV-2.

L’une des hypothèses est que l’ivermectine inhibe le transport au cœur des cellules de protéines virales.

Les virus auraient une action limitée contre les cellules grâce à l’ivermectine.

Ce mécanisme permettrait à la cellule d’être plus efficace dans son action contre le virus.

La cellule serait moins submergée par les protéines virales.

Les chercheurs rappellent que différentes études sur des cellules en laboratoire ou sur des animaux ont montré que l’ivermectine diminue de manière significative la production de cytokines pro-inflammatoires comme les TNF-alpha, Interleukin–1 bêta et Interleukin 6(1).

L’ivermectine pourrait donc réduire la force des tempêtes de cytokines qui ont fait tant de mal aux patients touchés par le covid 19.

Les chercheurs insistent ensuite sur le fait que les résultats sur les études in vitro (en laboratoire) ou sur les animaux ne donnent pas forcément les mêmes résultats que sur les études humaines(1).

Et que leur travail était justement de voir si l’ivermectine favorisait une guérison plus rapide ou un temps d’hospitalisation plus court.

… pour des conclusions décevantes (et douteuses)

L’étude confirme que les patients à qui de l’ivermectine a été donnée ont été moins malades et ont guéri plus tôt que les autres.

D’après les auteurs de l’étude, les patients à qui de l’ivermectine a été donnée ont été guéris en 14 jours et les autres en un peu plus de 16, soit un gain d’un peu plus de deux jours.

Cette différence d’un jour ne leur paraît pas suffisante pour être significative.

De même, lorsque l’on regarde combien de patients ont été hospitalisés plus de 28 jours, on trouve 34 patients sur 2157 patients “ivermectine” soit 1,6% contre 144 sur 3256 dans le groupe normal, soit 4,4%(1).

À nouveau, les auteurs de l’étude estiment que la différence n’est pas suffisante pour faire de l’ivermectine un remède efficace.

Pourtant, lorsque l’étude a été lancée, l’un des chercheurs à la tête du projet, le Dr Christophe Butler s’était montré enthousiaste(3).

Il affirmait que l’ivermectine était un médicament accessible dans le monde entier que l’on utilisait pour de nombreuses infections.

Il avait donc bon espoir d’obtenir des résultats satisfaisants.

Il espérait qu’avec cette étude tout doute serait levé en raison de la taille conséquente de la cohorte de patients étudiée.

Malgré cela, l’étude affirme dans son résumé que leur travail n’est pas concluant et qu’il faut continuer la recherche…

Le Dr Pierre Kory estime qu’il y a une “guerre contre l’ivermectine”

Le Dr Kory a soigné de nombreux patients touchés par le covid 19 avec de l’ivermectine(4,5,6).

Devant le succès de cette molécule, il est devenu l’un de ses plus ardents promoteurs.

Il a, lui-même, participé à différentes études montrant les bienfaits de cette molécule.

Même ses détracteurs reconnaissent sa compétence et son intégrité(6).

Pour Pierre Kory, l’étude PRINCIPLE est frauduleuse(4).

Il estime qu’elle s’inscrit dans une lignée de six autres publications manipulées sous la pression ou l’influence de l’industrie pharmaceutique.

Pour Pierre Kory, Big pharma et l’administration ont, dès le départ, tout fait pour discréditer toutes les alternatives possibles à la vaccination expérimentale qu’ils voulaient imposer au monde entier.

Il  ne remet pas en cause les données de l’étude PRINCIPLE, mais l‘interprétation qui en a été faite(4).

Sa première critique porte sur le temps qu’il a fallu pour faire publier ces données : plus de trois ans après qu’elles ont été récoltées !

Pour lui, ce long laps de temps a servi à masquer les bons résultats de cette étude. Il note que le lendemain à peine de la parution de cette étude, toute la presse américaine et anglaise s’en faisait l’écho pour dénigrer l’ivermectine(4).

J’ajouterai qu’il fallait sans doute que ces résultats paraissent le plus tard possible après la campagne de vaccination obligatoire et les nombreux effets secondaires qu’elle a provoqués.

La deuxième critique du Dr Kory est plus gênante.

Il s’étonne de voir qu’il manque des données portant sur la mortalité des patients, notamment chez ceux qui n’ont pas pris d’ivermectine(4).

Il cite enfin les travaux d’un autre groupe d’experts qui, eux, arrivent à la conclusion opposée par rapport aux auteurs de l’étude(7,8,9).

Ces scientifiques indépendants estiment que les patients du groupe “ivermectine” ont connu une amélioration significative de leur état(7,8).

Pourtant, ces chercheurs notent que l’ivermectine leur a été administrée tardivement.

Ce même groupe de scientifiques a fait la liste de toutes les études portant sur des thérapies ayant montré de bons résultats contre le covid 19(7,8).

Ils en ont référencé 32 ! (7)

On retrouve parmi ces bonnes pratiques de santé ou substances, le zinc, la quercétine, la vitamine D, l’exposition au soleil, l’alimentation de qualité, l’exercice physique, les graines de nigelles et de nombreuses substances chimiques.

Les médecins avaient le choix dans les remèdes à employer !

Et les premières études sont sorties dès début 2020 ! (7)

Redonner le pouvoir aux médecins traitants et aux patients

Cette bataille d’experts autour de l’ivermectine montre le malaise d’un grand nombre de soignants face à la doxa médicale.

L’épidémie de covid 19 aura montré, une fois encore, à quel point dans le domaine médical, les dés sont pipés.

Et, dans les faits, je connais bien des pharmaciens et des médecins, hospitaliers ou non, qui durant l’épidémie avaient gardé de l’ivermectine en réserve pour eux-mêmes ou leurs proches au cas où.

Et quand ils ont été touchés par le virus, ils se sont soignés à l’ivermectine sans se poser de question.

Et les responsables politiques ont fait pareil.

Dans tous les pays où cette substance a été interdite, elle était vendue sous le manteau. Certains patients ont même eu recours à des doses prévues pour le bétail. (Ils en sont tombés malades !)

La technicité des études scientifiques fait que les éditeurs de revues scientifiques soutenus par l’industrie pharmaceutique présentent les données comme cela les arrange.

Depuis des décennies BIG pharma et l’administration ont fait main basse sur la santé des citoyens du monde occidental.

Les médecins se doivent de suivre les ordres sous peine d’être écartés du système de soin.

Résultat, il est de plus en plus difficile de se faire soigner correctement.

La seule manière utile de sortir de cette situation est de redonner du pouvoir de prescription aux médecins généralistes.

Comme le dit souvent le Dr Jean Stevens, dans son livre La pandémie du mensonge et de la peur , ce sont les médecins généralistes, lors des épidémies qui sont en première ligne(10).

Ce sont eux qui devraient guider la recherche scientifique.

Mais ils ont été d’emblée écartés des débats scientifiques.

Dès que l’un d’entre eux trouvait quelque chose, il était poursuivi, blâmé, pressurisé, etc.

Que voulez-vous ?

Il fallait bien vendre ce fichu vaccin à ARNm !

Naturellement vôtre,

Augustin de Livois

 


Références

  1. Source 1
  2. Source 2
  3. Source 3
  4. Source 4
  5. Source 5
  6. Source 6
  7. Source 7
  8. https://c19ivm.org/principleivm.html
  9. Source 9
  10. https://www.naturerebelle.eu/store/p5/livre_pandemie_peur_mensonge.html#/

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