Les autorités américaines recensent les non-vaccinés

Chère amie, cher ami,

C’est en lisant un article du Dr Joseph Mercola que j’ai découvert la nouvelle(1).

Le gouvernement américain a subrepticement mis en place un système de recensement du statut vaccinal des citoyens de son pays.

Il compte ceux qui ont reçu l’injection ARn et ceux qui ne l’ont pas reçue ou qui n’ont pas reçu toutes les doses recommandées.

Si je vous fais part de cette nouvelle, c’est parce que ce qui se passe aux États-Unis est rarement neutre, pour nous, en Europe.

En général, c’est une question de semaines ou de mois avant que l’on nous impose plus ou moins les mêmes mesures.

Ce qui se passe, c’est que l’administration américaine, l’air de rien, met en place les outils nécessaires pour que voie le jour le passeport vaccinal international.

Des questionnaires dans les cliniques et les hôpitaux 

Le programme a été lancé en avril 2022, mais n’a été déployé sur l’ensemble du territoire américain qu’à partir de janvier 2023.

Il a été orchestré par le CDC (Center for Disease Control), le Centre de contrôle des maladies infectieuses américain qui, durant tout l’épisode du covid-19, a donné le la sur ce qu’il fallait faire contre l’épidémie dans tout l’Occident.

Selon cette nouvelle politique sanitaire, les médecins libéraux, les cliniques et les hôpitaux doivent demander aux patients quel est leur statut vaccinal(1,2,3).

Celui-ci est alors ajouté à leur dossier médical électronique.

Un code spécial est inscrit selon le statut vaccinal du patient.

Il s’agit du code ICD-10.

D’après le Dr Joseph Mercola, cette procédure se fait sans le consentement des patients ni même qu’ils ne soient au courant(1).

Le code ICD-10 : un outil de fichage de la population 

Ce code correspond à une classification. Mais il ne classe pas tant les maladies, ou les cas médicaux, que les personnes et leur statut vaccinal.

Il a été introduit, lors d’une réunion officielle entre différentes administrations de santé américaines, pilotée par le CDC, qui a eu lieu les 14 et 15 septembre 2021(2,3).

L’administration explique clairement dans les documents relatifs à la réunion, qui sont publics, qu’il y a un intérêt direct à tracer les personnes qui ne sont pas immunisées ou seulement partiellement immunisées.

Il existe ainsi différents codes ICD-10 pour désigner le statut des personnes :

  • Z28.310 désigne un patient qui n’a pas reçu d’injection anticovid 19 ;
  • Z28.311 désigne un patient qui n’a pas reçu l’ensemble des doses anticovid 19 prescrites par les administrations de santé américaines ;
  • Z28.29 est indiqué pour un patient qui ne serait pas à jour de ses vaccins.

La mention associée au code Z28.310 indique que le sujet ne s’est pas conformé à une obligation médicale.

Une fois que les données des patients sont enregistrées dans la base de données nationale, ces informations sont accessibles à l’administration ainsi qu’aux assurances privées.

Joseph Mercola insiste sur le fait que si le statut vaccinal d’une personne doit obligatoirement être notifié à l’administration centrale, comme si cela avait été une maladie.

Vers le passeport immunitaire aux États-Unis 

En clair, il n’existe plus beaucoup d’obstacles dans ce pays, soi-disant libre, pour que les données médicales de n’importe quel citoyen ayant consulté une fois un médecin, ne circulent entre les mains des administrations et des assurances.

Tous les éléments sont en train d’être mis en place pour créer un passeport sanitaire.

Mais comme le note le Dr Mercola, la force de ce système viendra du fait que les contrôles se feront au niveau du terrain.

Le passeport vaccinal sera exigible à l’entrée des restaurants, des cinémas, pour prendre l’avion, pour l’accès à l’école, etc.

Cette politique est-elle transposable en France ? 

La réponse est oui.

Nous avons connu une situation similaire avec le pass sanitaire.

Les acteurs de terrain ont effectué les contrôles exigés par le gouvernement.

Les cinémas, les restaurants, les médiathèques, les discothèques, la SNCF, les compagnies aériennes, etc. tous ces acteurs économiques ont contrôlé vos pass sanitaires pendant des mois.

La plupart des Français ne se sont pas tellement émus de cette situation.

Ils avaient l’impression que l’urgence et la gravité de la situation l’exigeait.

Or cette urgence et cette gravité n’existaient pas. Les patients covid n’ont représenté, rappelons-le, que 2% des patients hospitalisés en 2020(5) !

Les autorités et les médias ont créé de toutes pièces une psychose.

Et la population a suivi.

Il n’y a aucune raison que cela ne recommence pas dans les mois ou les années à venir.

Mais cette fois, les injections sont prêtes et les administrations aussi.

Une coordination offerte par l’OMS 

L’une des raisons pour lesquelles le code ICD-10 pourrait s’imposer au sein de l’UE est que cette nouvelle politique sanitaire est coordonnée par l’OMS.

Il ne s’agit donc pas d’une procédure voulue par les autorités américaines pour les Américains, mais d’un système de contrôle voulu par le CDC et l’OMS pour l’ensemble des citoyens du monde, en tout cas tous ceux qui seront disposés à se laisser faire.

Les Français sont compris dans “le package.” N’ayez aucun doute à ce sujet !

Aux États-Unis, l’administration, dans ses documents de travail(1,3,4), précise que ceux qui ne seraient pas à jour de leur vaccin pourraient être considérés comme des “délinquants vaccinaux.”

La notion n’est pas davantage précisée, mais l’esprit dans lequel ce nouveau cadre sanitaire est pensé n’est guère réjouissant !

Sortir du contrôle à tout va et redonner goût à la vie 

Dans le fond, la volonté du CDC ne constitue pas une surprise.

Un organisme dont le nom lui-même indique une volonté de “contrôler” les maladies ne pouvait qu’aboutir à de tels excès.

Le CDC et l’OMS souhaitent désormais contrôler les populations, les réguler.

Il ne s’agit que d’une étape supplémentaire dans la volonté de réguler le vivant.

On retrouve l’esprit du catalogue qui a voulu classifier toutes les semences pour n’en laisser que quelques-unes disponibles pour le marché(6).

La logique est simplement étendue aux êtres humains, considérés comme du bétail, que l’on peut marquer et tracer.

Ce qui a changé, c’est la technologie.

Les injections ARn, les tests PCR, la collecte de données massives permettent de mettre en place un programme de contrôle massif des populations.

Mais la nature n’a que faire de tous ces contrôles.

Les écosystèmes existent depuis des millions d’années.

Et l’avenir de l’humanité ne passe pas par la création d’une grande matrice qui régit et soumet toutes les âmes.

Toutes ces idées folles passeront.

L’avenir de l’humanité passe par une redécouverte de la nature, des liens sacrés qui nous unissent à elle et de sa capacité à se régénérer pourvu qu’on en respecte les logiques.

Pierre Rabhi avec sa sobriété heureuse ou encore Masanobu Fukuoka avec son livre La révolution d’un seul brin de paille nous ont montré la voie.

L’avenir appartient à ceux qui seront solidaires entre eux !

Ce qui n’empêche pas de veiller à ce qui se déroule autour de nous et de s’en protéger lorsque cela est nécessaire.

Naturellement vôtre,

Augustin de Livois

 


Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée.

* Votre adresse email restera strictement confidentielle et ne sera jamais échangée. Pour consulter notre politique de confidentialité, cliquez ici.

[shareaholic app="recommendations" id="26947312"]