Pour le Conseil d’Etat, l’aluminium vaccinal n’est pas dangereux pour la santé de bébé !

Chère amie, cher ami, 

C’était prévu, hélas. 

Le Conseil d’Etat a suivi les recommandations du rapporteur, Monsieur Rémi Decout-Paolini. 

Vous trouverez la décision ici.

Le Conseil d’Etat reconnaît qu’il existe des travaux sur l’aluminium et notamment ceux :

  • du Pr Romain Gherardi (France) ;
  • du Pr Yehuda Shoenfeld (Israël) ;
  • du Pr Chris Exley (Royaume Uni). 

Mais ces travaux n’ayant pas été repris par les Académies de Médecine et de Pharmacie, le Conseil d’Etat estime que ces études scientifiques ne suffisent pas à caractériser le danger de l’aluminium. 

La haute institution s’appuie sur une position institutionnelle plutôt que scientifique. Car ce n’est pas l’Académie de Médecine en elle-même qui mène les études. Et lorsqu’elle se positionne sur une controverse scientifique, elle ne le fait qu’après de longues années de tergiversation. 

C’est donc une décision politique. 

Peut-être vient-elle du fait que les industriels n’auraient, à l’heure actuelle, pas le choix. 

Ce n’est pas l’avis de tous les scientifiques. Mais c’est l’explication qu’avance le Dr Michel de Lorgeril dans son dernier livre sur la toxicité des vaccins (1) :

“Les industriels n’ont pas d’alternative – techniquement et pour le moment – à l’aluminium. Ils en sont prisonniers ; ce qui perpétue la controverse.”

A la question de savoir si le phosphate de calcium pourrait remplacer avantageusement l’aluminium, le scientifique ajoute : 

“Peut-être, mais dans ce cas il faudrait tout recommencer à zéro, refaire toutes les études avec cet adjuvant et obtenir de nouvelles autorisations sur le marché (AMM) pour chacun des vaccins qui contient aujourd’hui de l’aluminium. Au minimum 10 ans de travail, avec l’aveu (implicite) que l’aluminium vaccinal était toxique ; et donc immédiatement que toutes les plaintes étaient justifiées, que les victimes devaient être reconnues et sans doute indemnisées.”

Plus loin dans son livre, Michel de Lorgeril évoque 22 études d’une équipe taïwanaise publiées en juillet 2018 démontrant la nocivité de l’aluminium dans les vaccins contre le virus grippal H5N1 (2). 

En clair et toujours selon Michel de Lorgeril, même si les chercheurs sont souvent réticents à l’idée de trouver des problèmes de toxicité avec l’aluminium parce que cela est très mal vu de l’industrie pharmaceutique, ils sont régulièrement obligés de se résoudre à l’évidence : l’aluminium est très toxique et sa présence dans les vaccins est inquiétante. 

Et maintenant ? 

Ni le Conseil d’Etat, ni l’Académie de médecine, ni le gouvernement ne peuvent empêcher l’aluminium d’être toxique. 

Il y aura donc, hélas, d’autres victimes de la vaccination obligatoire à cause de l’aluminium. 

Les victimes s’en plaindront nécessairement. Il y aura des procès. Et, au fil du temps, la chape de plomb finira par sauter. 

Notre action aura permis deux choses : 

  • de mettre en évidence le problème de l’aluminium dans les vaccins, qui jusque-là avait été totalement passé sous silence ;
  • de permettre aux victimes de la vaccination d’identifier une des sources possibles de leur mauvaise réaction au vaccin – si l’aluminium est en cause, il faut que le bébé ou la personne concernée boive de l’eau avec du silicium, ce qui peut drainer l’aluminium. Il s’agit d’un conseil du Pr Chris Exley.
  • d’obliger la justice administrative à se positionner sur le sujet. 

Les Conseillers d’Etat ont été mis face à leur conscience. 

Certains diront qu’ils ont choisi de défendre l’industrie pharmaceutique. 

D’autres qu’ils défendent les vaccins dont une partie d’entre eux ont besoin d’un adjuvant pour fonctionner. Ceux-là trouveront que changer d’adjuvant est trop compliqué. 

Si vous regardez bien l’arrêt du Conseil d’Etat, vous verrez que les Conseillers d’Etat se sont ménagé une porte de sortie. Ils ont protégé leur conscience. 

Au paragraphe 11 de la décision, ils disent :

“Il appartient au Ministre de la santé, chargé par la loi d’élaborer la politique de vaccination, de veiller (…) au maintien d’un haut degré d’expertise publique et à la poursuite des recherches et études susceptibles d’améliorer la connaissance de la cinétique et des effets des adjuvants aluminiques ainsi que des possibilités de recours à d’autres adjuvants.”

Vous me direz que ce ne sont là que des miettes. 

A cette affirmation du Conseil d’Etat qui semble renvoyer la balle au Ministre de la santé, j’aurais préféré que soient requises des études indépendantes sur l’aluminium, évidemment. 

Là, c’est un vœu pieux. 

Il n’empêche, les conseillers ne sont pas si sûrs d’eux. 

Et inévitablement, l’aluminium, s’il est aussi nocif que de nombreux scientifiques le craignent, fera son retour dans le débat public sur les vaccins et la santé des populations. 

Mais d’ici là, quel temps perdu ! 

Naturellement vôtre, 

Augustin de Livois

 


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