Pourquoi, vous DEVEZ vous intéresser à l’affaire Wakefield. Votre avenir, celui de vos enfants, en dépendent !

Chère amie, cher ami, 

J’ai reçu hier un documentaire qui résume assez bien l’affaire de Andrew Wakefield, gastro-entérologue, dont l’industrie pharmaceutique et les médias ont fait un “anti-vaccin.” 

Ce médecin n’est absolument PAS la construction médiatique que l’on nous a vendue. 

Je vous livre un peu plus bas la vidéo qui a été traduite en français. 

Il est important de la regarder en entier. Elle dure une petite demi-heure. Il FAUT que vous preniez ce temps. Car cette vidéo explique assez bien comment peuvent être construites les FAUSSES VÉRITÉS médiatiques. 

L’affaire Wakefield, c’est un peu une affaire Dreyfus moderne, ou comment un innocent a été présenté au monde comme coupable. 

Il a tout perdu. Il a dû fuir son pays. Et aujourd’hui, la justice anglaise, ainsi qu’un chercheur américain indépendant ont démontré que tout ce qu’on lui avait reproché était FAUX. 

Il finira par être innocenté. La vérité finit toujours par triompher. Mais à quel prix ! 

Cette histoire permet par ailleurs de comprendre comment fonctionne le monde dans lequel nous vivons, ce qu’il a, malgré tout, de bon et ce qu’il a de terrifiant. 

Trois points m’ont particulièrement marqué dans cette histoire. 

Qui est Andrew Wakefield ?

Il s’agit d’un gastro-entérologue britannique. Il a publié une étude en 1998. Les résultats de l’étude n’ont pas plu aux autorités de santé de l’époque ni à l’industrie pharmaceutique. 

Sous la pression, le journal où l’étude avait été publiée, a lui-même remis en cause l’étude. Puis le Conseil de l’ordre du Royaume Uni a condamné le médecin. 

La justice, depuis, a donné raison, indirectement, à Andrew Wakefield. Vous allez savoir pourquoi. 

1/ Ce que dit VRAIMENT l’étude

Un peu avant la 8e minute (7:56), le documentaire explique ce qu’il y a VRAIMENT dans l’étude publiée par Andrew Wakefield. 

Cette étude porte sur 12 cas d’enfants autistes ayant des problèmes intestinaux graves. Elle pose l’hypothèse d’un lien POSSIBLE entre ces problèmes intestinaux et le vaccin contre la rougeole de l’époque. C’était un vaccin trivalent appelé ROR (Rougeole, Oreillon, Rubéole). 

Dans leurs travaux, les scientifiques précisent qu’il faudrait d’autres études pour confirmer ces données. 

Et les scientifiques ajoutent que ces données n’établissent pas de lien entre l’autisme et le vaccin ROR. 

L’étude d’Andrew Wakefield n’a jamais dit que l’autisme était causé par le ROR. Son étude dit : “il est possible que, chez les autistes, le ROR ait un effet sur les problèmes gastro-intestinaux”. 

Mais l’industrie pharmaceutique, les autorités britanniques et les médias ont eu tellement peur pour le programme de vaccination contre la rougeole de l’époque, qu’ils ont travesti la réalité. 

Les médias interprètent mal l’étude. Ils croient qu’elle remet en cause les vaccins. Une campagne de dénigrement d’Andrew commence. 

2/ L’étude n’a pas été “rétractée” !

Un peu avant la minute 13 (12:58) de la vidéo, on nous apprend ce qui s’est passé autour de la “rétractation de l’étude”. 

C’est très important. 

Ce qui a été rétracté du journal, c’est l’interprétation de l’étude, à savoir : il pourrait y avoir un problème entre le ROR et les problèmes intestinaux. 

Les données de l’étude n’ont jamais été remises en cause par le journal. Les patients existent. Leurs familles aussi. Les photos, les mesures, bref toutes les données récoltées auprès des patients par différents examens médicaux existent. 

Il n’y a AUCUNE, j’ai bien dit AUCUNE fraude dans l’étude ! 

Il y a un désaccord sur ce que ces chiffres veulent dire et un choix éditorial d’une revue, dont on apprend que, par ailleurs, elle est financée par l’industrie pharmaceutique. 

3/ La justice a donné raison à John Walker Smith, et indirectement à Andrew Wakefield

A la minute 26 et après, la vidéo nous explique dans quel sens la justice a finalement tranché. 

Au moment où l’étude est publiée, Andrew Wakefield et son supérieur hiérarchique John Walker Smith sont poursuivis par l’ordre des médecins. Ils ont mené l’étude ensemble. 

L’ordre des médecins les condamne tous les deux. 

Andrew se voit retirer son autorisation d’exercer la médecine. Il n’a plus d’argent. Il est déshonoré. Il renonce à faire appel de la décision et part vivre aux Etats-Unis. C’est un exilé. 

Mais John Walker Smith arrive à l’âge de la retraite. Sa carrière a été en tout point exemplaire. Il refuse la condamnation et fait appel auprès de la cour d’appel, une vraie cour de justice avec des juges professionnels. 

La justice mène l’enquête. Les données sont étudiées. John Walker Smith, et donc indirectement Andrew Wakefield sont TOTALEMENT réhabilités. 

Et le juge estime que cette histoire est une honte et une parodie de justice. 

Il y aurait d’autres choses à dire sur la personnalité trouble de l’ennemi de Andrew Wakefield, le journaliste Brian Deer, ou sur les familles des patients qui ont toujours soutenu Andrew Wakefield. 

Vous retrouverez tout cela dans cette vidéo, dont le mérite est d’être factuelle et synthétique : 

Vous la trouverez ici. 

Bon visionnage ! 

Augustin de Livois