Un souhait et deux résolutions pour 2023 !

Chère amie, cher ami,

Ces dernières années, j’ai eu l’occasion de vous souhaiter d’avoir de la joie ou de la force¹.

En 2023, je vous souhaite d’être persévérants.

Vous le savez aussi bien que moi, les temps que nous traversons sont marqués par l’incertitude.

À une époque où nous disposons de multiples outils de modélisation et de prédiction, rien ne semble aussi imprévisible que les années à venir.

Cela est vrai pour l’Europe, qui redécouvre sur son territoire la guerre après 30 ans d’accalmie.

Mais quel continent peut se dire à l’abri de remous politiques, économiques ou écologiques dans les mois qui viennent ?

Les situations aux États-Unis, au Brésil, en Chine, en Iran ou en Russie semblent tendues.

La confusion règne.

À mon sens, cela est dû, en grande partie, à la corruption de certaines institutions, que jusque-là personne n’aurait cru malhonnêtes.

Voici deux exemples.

L’OMS aux mains de Bill Gates

L’OMS, un organisme international représentant les États, est financé en grande partie par des acteurs privés².

La Fondation Bill et Melinda Gates est l’un des contributeurs majeurs – loin devant la France et la plupart des États – au budget de l’OMS^2,3.

C’est une confusion des genres.

Dans l’esprit des citoyens du monde, l’OMS représente les États, c’est-à-dire l’intérêt général.

En pratique, elle applique la vision sanitaire d’un seul homme, qui n’est ni médecin, ni thérapeute.

C’est un informaticien qui a fait fortune. Est-ce suffisant pour représenter l’intérêt général ?

Par ailleurs, la Fondation Gates elle-même se finance grâce aux bénéfices de ses actions dans l’industrie pharmaceutique. Dès le départ, Bill Gates l’a dotée d’un fonds de 50 milliards d’euros^2,3.

N’y a-t-il pas là un grave conflit d’intérêts ?

Et, généralement, les journaux qui défendent le magnat sont aussi financés par sa Fondation⁴.

Ce n’est pas rassurant.

L’UE et les contrats biffés

Les pays de l’Union européenne, sauf la Suède, ont plus ou moins imposé à leurs populations – sous peine d’exclusion sociale – des vaccins ARN.

Les contrats d’approvisionnement signés par l’UE sont néanmoins demeurés secrets.

Et lorsque des députés européens comme Michèle Rivasi, députée française et membre de la commission du contrôle budgétaire, ou encore Margrete Auken, députée danoise, ont demandé de voir ces contrats, on leur a remis des copies biffées en noir^5,6.

Les mentions importantes concernant notamment le prix étaient illisibles.

Il a fallu des fuites venant des laboratoires pharmaceutiques pour que certaines clauses de ces contrats soient connues⁷.

Quatre députés européens ont fini par saisir la justice pour que les documents relatifs à ces contrats publics – payés par vos impôts – soient rendus… publics^5,6.

Pourtant, la Présidente de la Commission européenne, qui a signé les contrats, est restée en poste.

Peut-on encore parler de démocratie lorsque les contrats d’États ne sont pas accessibles aux élus ?

Qui sert Madame Van der Leyen ?

Ce n’est ni vous, ni moi, visiblement.

Vous, qui lisez cette lettre…

D’autres scandales ont éclaté sur la période.

Ils sont trop nombreux à lister ici.

Le Lancet Gate et l’étude bidon avec plus de 100 000 patients inventés pour décrédibiliser l’hydroxychloroquine n’a pas renforcé la confiance que le public pouvait avoir dans la science et ses experts⁸.

Tout cela, si vous lisez ma lettre, vous le savez plus ou moins.

Vous faites partie de ceux qui sont restés à l’écoute, qui se sont posé des questions.

Vous étiez disposés à entendre plusieurs sons de cloche.

Vous avez eu l’intuition que tout ce que disaient les médias officiels méritait peut-être d’être nuancé.

Et peut-être avez-vous été directement touché par ce que nous sommes en train de vivre ?

• Peut-être avez-vous perdu votre médecin traitant, poursuivi par l’Ordre des médecins ?

• Peut-être avez-vous subi des effets secondaires liés aux vaccins ?

• Peut-être avez-vous ressenti une solitude extrême ces derniers mois ?

• Peut-être avez-vous été en colère, peut-être avez-vous manifesté ?

• Peut-être vous-êtes vous indigné de la manière dont le Pr Montagnier a été traité ou d’autres grands scientifiques que l’on a refusé d’écouter alors que chaque jour qui passe montre qu’ils avaient au moins en partie raison ?

Gardez le cap !

Peut-être avez-vous été de ceux qui ont tenté l’unité malgré tout.

Ceux-là étaient rares.

Acceptant de ne pas entrer dans les polémiques, ils ont tenté de garder les liens humains autour d’eux.

Votre curiosité, votre capacité à vous interroger, votre volonté de mieux comprendre font de vous des lumières dans ce monde inquiétant, parfois ténébreux.

Votre singularité, vos intuitions, votre for intérieur, votre libre arbitre font de vous des personnes libres et précieuses.

Vos proches ont besoin de vous.

Notre époque a besoin de vous.

Ainsi quelle que soit votre filière de résilience, nourrissez-la !

Créez du lien, prévoyez l’avenir, restez les yeux et les oreilles aux aguets.

C’est un temps pour les veilleurs, ceux qui portent un flambeau dont on espère qu’il pourra un peu éclairer les autres.

Notre civilisation arrive à la fin d’un cycle, la fin d’un système. Tout le monde le sent.

Personne ne sait de quoi l’avenir sera fait.

Mais je suis persuadé que le prochain cycle aura besoin de vous !

Je vous souhaite donc de la persévérance dans vos projets et dans votre volonté de soigner vos proches avec la nature.

Ce souhait est aussi pour moi.

Et pour y parvenir, j’ai choisi deux résolutions.

Résolution n°1 : Sourire autant que possible

Lorsque vous souriez, votre corps libère naturellement des hormones⁹.

Cette action est à la fois mécanique et chimique.

Les muscles du sourire sont notamment les zygomatiques et le risorius¹⁰.

Lorsque vous les actionnez, ils stimulent l’hypothalamus situé dans le cerveau.

Cette structure dans le cerveau fait le lien entre le système nerveux et le système endocrinien ou hormonal¹¹.

L’hypothalamus fonctionne avec l’hypophyse qui est une glande endocrine de la taille d’un petit pois¹².

Votre sourire permet la production d’une substance chimique : l’endorphine¹³.

Elle est aussi appelée l’hormone du bonheur. Vous en produisez également lorsque vous pratiquez une activité physique¹³.

Vos muscles du sourire, même actionnés de manière un peu forcée, conduisent votre cerveau à produire une hormone qui vous fait du bien.

L’endorphine réduit le stress et apporte un peu de bonheur¹⁴.

Sourire, dans les situations difficiles, vous donne confiance en vous. Avec plus de sérénité, il est probable que vous preniez une meilleure décision.

En pratique, voilà ce que cela donne :

Vous recevez un mail de critique de quelqu’un, proche ou non. Ce mail vous agace au plus au point. Il est injuste et déplacé. Sourire.

Cette personne devait vraiment être mal lunée ! Sa colère ne vous atteint pas. Au contraire ! Soudainement cette colère vous paraît bien inutile. Que d’énergie dépensée pour des pacotilles !

Voici une autre situation. Quelqu’un vous klaxonne en hurlant dans sa voiture des incantations dont le sens vous échappe.

L’idée générale est plus claire : la personne est furieuse. À cause de vous et de votre respect des limites de vitesse, les deux voitures vont devoir attendre au feu rouge. Sourire immédiat.

La tension baisse. En effet, sourire à quelqu’un qui vous crie dessus est souvent très efficace pour calmer les esprits.

Au pire, si l’autre s’énerve encore davantage, cela vous permet de garder le calme.

Même un sourire douloureux peut être thérapeutique.

Résolution n°2 : Toujours dire la vérité

Cette résolution-là existe depuis la nuit des temps dans tous les manuels de sagesse humaine.

Les humains savent que c’est la recette imparable pour une vie dans la lumière.

Mais la vision humaine est parfois si floue, si limitée, si confuse, si marquée par les émotions que dire la vérité ou éviter le mensonge, qui en est la version allégée, peut-être difficile.

Cela demande un peu d’entraînement.

Une fois que l’on s’y est habitué, cependant, on ne peut plus s’en passer. Car dire la vérité fait gagner beaucoup de temps et renforce les liens avec les proches.

Cela permet de renforcer l’esprit de responsabilité de chacun. Et c’est bon dans toutes les relations humaines.

Cela ne veut pas dire bien sûr qu’il faille dire ses quatre vérités aux autres.

En général, la vérité la plus sûre est celle qui vous concerne. Celle qui touche les faits quotidiens de votre vie.

Et vous, quelles vont être vos résolutions pour l’année 2023 ?

Naturellement vôtre,

Augustin de Livois